Suite à des informations publiées le mercredi 16 octobre 2019 par des médias en ligne, le Ministère des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur tient à apporter les précisions suivantes :
Les 14 et 15 octobre 2019, le Sénégal a pris part à la 127ème session Comité des droits de l’homme en vue de présenter son cinquième rapport périodique, conformément à l’article 40 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Au cours du dialogue interactif qui a suivi la présentation dudit rapport, l’un des experts du Comité a demandé à la délégation sénégalaise de fournir des informations sur l’état de mise en œuvre des constatations du Comité au sujet de l’affaire concernant Monsieur Karim WADE, transmises à l’Etat du Sénégal en octobre 2018.
Dans sa réponse, et contrairement aux allégations relayées par la presse en ligne, la délégation sénégalaise n’a, en aucun cas et sous quelque forme que ce soit, pris des engagements allant dans le sens d'une « réhabilitation » de Monsieur Karim Wade, ou d'une « réparation » d’un « préjudice » qu’il aurait subi.
Par conséquent, les informations publiées à ce sujet sont dénuées de tout fondement et relèvent de la méconnaissance des procédures du droit sénégalais et des positions antérieurement et clairement exprimées par le Sénégal sur la question.
Les 14 et 15 octobre 2019, le Sénégal a pris part à la 127ème session Comité des droits de l’homme en vue de présenter son cinquième rapport périodique, conformément à l’article 40 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Au cours du dialogue interactif qui a suivi la présentation dudit rapport, l’un des experts du Comité a demandé à la délégation sénégalaise de fournir des informations sur l’état de mise en œuvre des constatations du Comité au sujet de l’affaire concernant Monsieur Karim WADE, transmises à l’Etat du Sénégal en octobre 2018.
Dans sa réponse, et contrairement aux allégations relayées par la presse en ligne, la délégation sénégalaise n’a, en aucun cas et sous quelque forme que ce soit, pris des engagements allant dans le sens d'une « réhabilitation » de Monsieur Karim Wade, ou d'une « réparation » d’un « préjudice » qu’il aurait subi.
Par conséquent, les informations publiées à ce sujet sont dénuées de tout fondement et relèvent de la méconnaissance des procédures du droit sénégalais et des positions antérieurement et clairement exprimées par le Sénégal sur la question.