La fete de Paques, est un moment pour les fidéles catholiques de Ziguinchor de symboliser le dialogue islamo chrétien par le partage de leurs mets préparés à cette occasion. Parmi lesquels mets, figure en bonne place le Ngalakh. Ce plat spécifique sénégalais, est un trait d'union entre les chrétiens et musulmans du Sénégal, Ziguinchor en particulier.
Mais cette année, la célébration pascale se passe dans un contexte trés particulier, avec la présence du coronavirus dans pays. A cet effet, l'Eglise, pour des mesures sanitaires , a invité les fidéles de s'en passer du Ngalakh. mais cet appel, semble entré dans l'oreille d'un sourd. Car, dans certaines familles, le Ngalakh est devenue presque une coutume, pour ne dire une religion. De ce fait, il est trés difficile pour ces dernieres, de ne pas le servir à leurs proches, voisins immédiats et parents. Cest le cas de la famille corréa de Néma2.
"on ne peut pas rester sans préparer du Ngalakh, pendant la fete de Paques. C'est une coutume chez nous", nous confie cette dame d'une soixantaine d'années. Qui ajoute, "j'ai trouvé mes parents perpétuer le rituel. ils servaient leurs voisins musulmans, leurs proches, entre autres", explique la vieille dame.
Non loin delà, à Kadior, Olivier, un jeune trouvé entrain de prendre son petit déjeuner, indique que nonobstant l'appel de l'Eglise, les familles ont préparé du Ngalakh, mais précise t il , de façon modérée. "il n y a pas de grand tintamarre comme il se faisait les années précédentes". Et d'assurer, "c'est juste servir les voisins, les amis musulmans, et quelques parents".
la redaction
Mais cette année, la célébration pascale se passe dans un contexte trés particulier, avec la présence du coronavirus dans pays. A cet effet, l'Eglise, pour des mesures sanitaires , a invité les fidéles de s'en passer du Ngalakh. mais cet appel, semble entré dans l'oreille d'un sourd. Car, dans certaines familles, le Ngalakh est devenue presque une coutume, pour ne dire une religion. De ce fait, il est trés difficile pour ces dernieres, de ne pas le servir à leurs proches, voisins immédiats et parents. Cest le cas de la famille corréa de Néma2.
"on ne peut pas rester sans préparer du Ngalakh, pendant la fete de Paques. C'est une coutume chez nous", nous confie cette dame d'une soixantaine d'années. Qui ajoute, "j'ai trouvé mes parents perpétuer le rituel. ils servaient leurs voisins musulmans, leurs proches, entre autres", explique la vieille dame.
Non loin delà, à Kadior, Olivier, un jeune trouvé entrain de prendre son petit déjeuner, indique que nonobstant l'appel de l'Eglise, les familles ont préparé du Ngalakh, mais précise t il , de façon modérée. "il n y a pas de grand tintamarre comme il se faisait les années précédentes". Et d'assurer, "c'est juste servir les voisins, les amis musulmans, et quelques parents".
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