Chronique. Ce vendredi 29 novembre, j’entame la marche avec un sentiment de solitude. Nous sommes seuls devant un pouvoir tenace. Face aux enjeux régionaux, nous sentons bien que nous touchons à beaucoup d’intérêts. Ça pue trop le fric. Il paraît que les multinationales affluent pour signer des contrats juteux dans le secteur des hydrocarbures. Ce putain de pétrole qui est une malédiction pour l’Algérie nous complique encore plus les choses. J’aimerais bien craquer une allumette et la foutre dans tous les puits. Comme ça, hop, on n’en parle plus !
Algérie : « Nous sommes des zombies qui envahissons les rues pour manger du corrompu »
Dans une chronique hebdomadaire, le cinéaste Karim Moussaoui livre au « Monde Afrique » son regard sur le Hirak.
Samedi 7 Décembre 2019
La Rédaction / Samboudiang Sakho
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