Les conducteurs de moto jakarta, ne sont pas du tout en phase avec les autorités qui ont pris la décision de mettre un terme à leur activité jusqu'à nouvel ordre. A Ziguinchor, comme dans les autres contrées de la région, les jakartamen condamnent cette mesure, et demandent aux autorités de revoir leur copie.
"nous sommes tous d'accord avec les directives édictées par nos médecins. Mais , le fait de prendre subitement cette mesure qui surprend tout le monde, nous plonge dans un désarroi total.Car, nous ne nous sommes pas préparés à cela", amer, explique Modou jakartaman.
Non loin delà, à Peyrisac, Alioune Mané trouve que cette interdiction va engendrer des conséquences néfastes dans plusieurs familles. A l'en croire, les moto taxis jakarta font vivre des centaines de familles, et plus de mille à travers la région. Si, aujourd'hui, on demande à tous ces soutiens de familles d'arréter leurs activités, cela va sans doute, provoquer des situations trés difficiles dans des familles.
"moi, je suis soutien de famille. Chaque jour, je participe à la dépense quotidienne. Maintenant imaginez que je reste des jours, voire des semaines ou mois sans travailler, ma famille va etre confrontée à un probléme sérieux de nourriture", déclare Aliou Mané. Non sans suggérer, "il faut que l'Etat revoie cette décision. Car, à Ziguinchor, les jeunes conducteurs travaillent sérieusement dans la journée, et le soir , ils rentrent tranquillement chez eux pour respecter le couvre feu.
la redaction
"nous sommes tous d'accord avec les directives édictées par nos médecins. Mais , le fait de prendre subitement cette mesure qui surprend tout le monde, nous plonge dans un désarroi total.Car, nous ne nous sommes pas préparés à cela", amer, explique Modou jakartaman.
Non loin delà, à Peyrisac, Alioune Mané trouve que cette interdiction va engendrer des conséquences néfastes dans plusieurs familles. A l'en croire, les moto taxis jakarta font vivre des centaines de familles, et plus de mille à travers la région. Si, aujourd'hui, on demande à tous ces soutiens de familles d'arréter leurs activités, cela va sans doute, provoquer des situations trés difficiles dans des familles.
"moi, je suis soutien de famille. Chaque jour, je participe à la dépense quotidienne. Maintenant imaginez que je reste des jours, voire des semaines ou mois sans travailler, ma famille va etre confrontée à un probléme sérieux de nourriture", déclare Aliou Mané. Non sans suggérer, "il faut que l'Etat revoie cette décision. Car, à Ziguinchor, les jeunes conducteurs travaillent sérieusement dans la journée, et le soir , ils rentrent tranquillement chez eux pour respecter le couvre feu.
la redaction