La situation politique qui prévaut ces derniers jours en Guinée Bissau préoccupe au plus haut point la Cedeao.
En effet, l’organisation ouest africaine, à travers un communiqué publié ce mardi 29 octobre, fait part de son inquiétude sur un nombre de faits récents qui secouent le pays, notamment ceux liés à des informations sur une tentative de coup de force visant à remettre en cause les institutions de l'Etat, la création d'obstacles artificiels destinés à entraver le processus électoral en cours pour les élections présidentielles du 24 novembre 2019, des manifestations de rue qui se sont achevées par de nombreux blessés et un mort.
Pour inciter à l’accalmie, la Cedeao a invité les autorités bissau guinéennes à s’aligner sur un certain nombre de recommandations allant dans le sens d’abord d’identifier les auteurs des actes attentatoires à l'ordre institutionnel et à situer les responsabilités dans les circonstances ayant entraîné la mort d'un manifestant et occasionné de nombreux blessés graves.
S’agissant du décret présidentiel no 12/2019 du 28 octobre 2019 démettant le gouvernement actuel de la Guinée-Bissau que dirige le Premier Ministre, M. Aristides GOMES, dont le caractère illégal est évident, la CEDEAO a tenu à rappeler que ce gouvernement résulte des décisions du Sommet de la CEDEAO du 29 juin 2019, suite aux constats que l’organisation a voulu spécifier pour qu’aucune des forces politiques de la Guinée Bissau, la société civile et autres organisations n’en ignorent les raisons.
La Cedeao explique la démarche motivée par la fin du mandat du Président de la République depuis le 23 juin 2019, l'absence d'un gouvernement légitime plus de trois (3) mois après les élections législatives du 10 mars 2019 ; et le risque inhérent lié à un vide constitutionnel. C'est dans ce contexte, renseigne la Cedeao que le Sommet a décidé de confier la conduite entière des affaires gouvernementales au gouvernement nouvellement constitué, conformément à la Constitution de la Guinée-Bissau et ce, jusqu'aux élections présidentielles.
En effet, l’organisation ouest africaine, à travers un communiqué publié ce mardi 29 octobre, fait part de son inquiétude sur un nombre de faits récents qui secouent le pays, notamment ceux liés à des informations sur une tentative de coup de force visant à remettre en cause les institutions de l'Etat, la création d'obstacles artificiels destinés à entraver le processus électoral en cours pour les élections présidentielles du 24 novembre 2019, des manifestations de rue qui se sont achevées par de nombreux blessés et un mort.
Pour inciter à l’accalmie, la Cedeao a invité les autorités bissau guinéennes à s’aligner sur un certain nombre de recommandations allant dans le sens d’abord d’identifier les auteurs des actes attentatoires à l'ordre institutionnel et à situer les responsabilités dans les circonstances ayant entraîné la mort d'un manifestant et occasionné de nombreux blessés graves.
S’agissant du décret présidentiel no 12/2019 du 28 octobre 2019 démettant le gouvernement actuel de la Guinée-Bissau que dirige le Premier Ministre, M. Aristides GOMES, dont le caractère illégal est évident, la CEDEAO a tenu à rappeler que ce gouvernement résulte des décisions du Sommet de la CEDEAO du 29 juin 2019, suite aux constats que l’organisation a voulu spécifier pour qu’aucune des forces politiques de la Guinée Bissau, la société civile et autres organisations n’en ignorent les raisons.
La Cedeao explique la démarche motivée par la fin du mandat du Président de la République depuis le 23 juin 2019, l'absence d'un gouvernement légitime plus de trois (3) mois après les élections législatives du 10 mars 2019 ; et le risque inhérent lié à un vide constitutionnel. C'est dans ce contexte, renseigne la Cedeao que le Sommet a décidé de confier la conduite entière des affaires gouvernementales au gouvernement nouvellement constitué, conformément à la Constitution de la Guinée-Bissau et ce, jusqu'aux élections présidentielles.