C'est une initiative majeure qui est notamment dénommée Plan d'investissement extérieur de l'Union européenne. Ce plan, qui se situe dans le cadre des objectifs 2030 pour le développement durable appelé Odd, est défini dans le but d'éliminer l'extrême pauvreté sous toutes ses formes, de protéger aussi la planète et de garantir la prospérité.
Dans ce sillage, l'Union européenne (Ue) campe sur ses positions et s’est engagée à jouer sa partition pour la réalisation de ces grands objectifs. C'est pourquoi, comme l'a si bien signifié Irène Mingasson, cheffe de délégation de ladite institution au Sénégal, le Plan d'investissement européen (Pit) doit, en grande partie contribuer à la réalisation de ces objectifs.
Pour l'Ue, il faudrait d'abord penser à investir de façon considérable dans des secteurs particuliers tels que le transport, l'énergie, l'eau, l'assainissement, la santé et l'éducation.
Au Sénégal, le défi est tout aussi conséquent. En effet, pour le financement de la 2e phase du Pse (Plan Sénégal émergent), l'Union européenne pense qu'il y a autant d'investissements qui doivent notamment participer à créer les emplois nécessaires. Ce, au regard des 300 000 jeunes entrant, chaque année, sur le marché du travail.
Donc, la volonté est manifestement présente et il faudrait se demander comment mettre en pratique de nouveaux mécanismes pour accompagner efficacement une dynamique positive, inclusive et pérenne.
C'est dans cette perspective qu'intervient le Plan d'investissement extérieur, inauguré en 2017 pour adapter un mécanisme afin d'utiliser des fonds publics pour l'investissement privé. C'est pour ainsi viser les créneaux qui sont difficilement accessibles pour le secteur privé, mais primordiaux pour le développement durable.
L'amélioration de l'environnement des affaires fait aussi partie des préoccupations de l'Ue. Selon la cheffe de délégation de l'UE, les priorités pour tendre à un environnement des affaires reconnues restent déjà liées dans le domaine de la fiscalité des entreprises mais aussi dans celui du foncier.
Tout ce qui entre dans le cadre de l'établissement d'un climat de confiance, d'une bonne participation dans des politiques d'initiative est pris en compte par l'Union européenne. Il faudrait aussi souligner que Irène Mingasson, cheffe de délégation de ladite institution au Sénégal et ses collaborateurs disent être prêts à accompagner l'État dans ses réformes qui promettent un avenir économique exemplaire.
Dans ce sillage, l'Union européenne (Ue) campe sur ses positions et s’est engagée à jouer sa partition pour la réalisation de ces grands objectifs. C'est pourquoi, comme l'a si bien signifié Irène Mingasson, cheffe de délégation de ladite institution au Sénégal, le Plan d'investissement européen (Pit) doit, en grande partie contribuer à la réalisation de ces objectifs.
Pour l'Ue, il faudrait d'abord penser à investir de façon considérable dans des secteurs particuliers tels que le transport, l'énergie, l'eau, l'assainissement, la santé et l'éducation.
Au Sénégal, le défi est tout aussi conséquent. En effet, pour le financement de la 2e phase du Pse (Plan Sénégal émergent), l'Union européenne pense qu'il y a autant d'investissements qui doivent notamment participer à créer les emplois nécessaires. Ce, au regard des 300 000 jeunes entrant, chaque année, sur le marché du travail.
Donc, la volonté est manifestement présente et il faudrait se demander comment mettre en pratique de nouveaux mécanismes pour accompagner efficacement une dynamique positive, inclusive et pérenne.
C'est dans cette perspective qu'intervient le Plan d'investissement extérieur, inauguré en 2017 pour adapter un mécanisme afin d'utiliser des fonds publics pour l'investissement privé. C'est pour ainsi viser les créneaux qui sont difficilement accessibles pour le secteur privé, mais primordiaux pour le développement durable.
L'amélioration de l'environnement des affaires fait aussi partie des préoccupations de l'Ue. Selon la cheffe de délégation de l'UE, les priorités pour tendre à un environnement des affaires reconnues restent déjà liées dans le domaine de la fiscalité des entreprises mais aussi dans celui du foncier.
Tout ce qui entre dans le cadre de l'établissement d'un climat de confiance, d'une bonne participation dans des politiques d'initiative est pris en compte par l'Union européenne. Il faudrait aussi souligner que Irène Mingasson, cheffe de délégation de ladite institution au Sénégal et ses collaborateurs disent être prêts à accompagner l'État dans ses réformes qui promettent un avenir économique exemplaire.