Alerte rouge pour les populations de la commune de Djeddah Thiaroye Kao de la banlieue dakaroise. Deux redoutables violeurs nommés Thierno T. et Mame G. sont présentement dans la nature. Ils ont transformé en objet sexuel leur voisine mineure et domestique du nom de Fatou D. dans un bâtiment et l’ont abandonnée sur les lieux dans un piteux état. Ils sont cependant activement traqués par la police de Thiaroye, qui a lancé un avis de recherche et d’arrestation contre les deux jeunes maniaques sexuels.
Les violeurs interceptent la fille dans la rue, profitent de sa naïveté et l’attirent en douce dans le bâtiment
Le drame a eu lieu la semaine dernière. La demoiselle, qui marchait tranquillement, a été interceptée dans les rues de la localité par les deux garçons, qui sont des voisins de quartier à la petite. Ainsi, sachant qu’ils ont affaire à une proie vulnérable, ils se retirent avec l’adolescente dans un endroit discret et engagent une discussion avec elle. Se rendant compte que la fille est trop naïve, ils usent de subterfuges et réussissent à entraîner celle-ci dans une maison abandonnée. En deux temps trois mouvements, ils déshabillent la domestique, l’allongent à même le sol et abusent d’elle à tour de rôle. Ils l’abandonnent ensuite dans un piteux état sur les lieux, sortent du bâtiment et disparaissent dans la nature.
La famille de la victime exprime son désarroi et craint que celle-ci ne tombe enceinte des pédophiles en fuite
Très mal en point, l’adolescente réussit néanmoins à se relever et se traîne jusque au portail de la maison abandonnée. Un habitant de quartier tombe sur elle et court alerter son père. Ce dernier entre dans une colère noire, ramène sa fille à la maison et la presse de questions. La mineure relate les détails du viol collectif et affirme que ses «bourreaux» sexuels n’ont pas mis de préservatif. Le papa suffoque de rage et redoute que sa fille ne tombe enceinte des œuvres des mis en cause en fuite.
Une réquisition à médecin faite, les maniaques sexuels identifiés, la police lance la chasse à l’homme
Il se rend à la police pour porter plainte. Sans attendre, la police ouvre une enquête, auditionne les personnes concernées dans l’affaire et lance la chasse à l’homme. Une réquisition à médecin est aussitôt faite pour déterminer la nature de la gravité du viol collectif. La victime est conduite au Centre national hospitalier de Pikine. En attendant de disposer des conclusions des blouses blanches sur l’état de santé de l’adolescente, les deux auteurs du viol collectif clairement identifiés et reconnus courent toujours et constituent du coup de potentiels dangers humains ambulants pour les populations de la banlieue dakaroise et ailleurs.
Les violeurs interceptent la fille dans la rue, profitent de sa naïveté et l’attirent en douce dans le bâtiment
Le drame a eu lieu la semaine dernière. La demoiselle, qui marchait tranquillement, a été interceptée dans les rues de la localité par les deux garçons, qui sont des voisins de quartier à la petite. Ainsi, sachant qu’ils ont affaire à une proie vulnérable, ils se retirent avec l’adolescente dans un endroit discret et engagent une discussion avec elle. Se rendant compte que la fille est trop naïve, ils usent de subterfuges et réussissent à entraîner celle-ci dans une maison abandonnée. En deux temps trois mouvements, ils déshabillent la domestique, l’allongent à même le sol et abusent d’elle à tour de rôle. Ils l’abandonnent ensuite dans un piteux état sur les lieux, sortent du bâtiment et disparaissent dans la nature.
La famille de la victime exprime son désarroi et craint que celle-ci ne tombe enceinte des pédophiles en fuite
Très mal en point, l’adolescente réussit néanmoins à se relever et se traîne jusque au portail de la maison abandonnée. Un habitant de quartier tombe sur elle et court alerter son père. Ce dernier entre dans une colère noire, ramène sa fille à la maison et la presse de questions. La mineure relate les détails du viol collectif et affirme que ses «bourreaux» sexuels n’ont pas mis de préservatif. Le papa suffoque de rage et redoute que sa fille ne tombe enceinte des œuvres des mis en cause en fuite.
Une réquisition à médecin faite, les maniaques sexuels identifiés, la police lance la chasse à l’homme
Il se rend à la police pour porter plainte. Sans attendre, la police ouvre une enquête, auditionne les personnes concernées dans l’affaire et lance la chasse à l’homme. Une réquisition à médecin est aussitôt faite pour déterminer la nature de la gravité du viol collectif. La victime est conduite au Centre national hospitalier de Pikine. En attendant de disposer des conclusions des blouses blanches sur l’état de santé de l’adolescente, les deux auteurs du viol collectif clairement identifiés et reconnus courent toujours et constituent du coup de potentiels dangers humains ambulants pour les populations de la banlieue dakaroise et ailleurs.