Le Sénégal a enregistré ses premiers cas de grippe aviaire H5N1. Il y a eu 48 mille oiseaux morts et 52 mille sujets abattus par les autorités.
Interpellé sur la question, le ministre de l’Élevage et des Productions animales, Aly Saleh Diop a fait savoir à nos confrères d'IRadio que toutes les mesures ont été prises pour contenir les cas de grippe aviaire H5N1 découverts, fin décembre, dans une ferme avicole à Ndiakhat, dans la commune de Pout.
« A la suite d’une analyse effectuée par le laboratoire national d’élevage et de recherches vétérinaires, à la suite de cette notification, nous avons évalué l’ampleur de la maladie, identifié les facteurs de risque et formulé les recommandations pour le contrôle rapide du foyer.
A la suite de cette mission, nous avons pris les dispositions idoines qui prévalent en la matière. Et il s’est agi d’appliquer les dispositions spéciales en procédant à l’incinération des sujets qui étaient déjà morts. Par la suite, nous avons immédiatement procédé à l’abattage de tous les autres sujets encore en vie », précise-t-il.
Les risques de contamination sont ainsi moindres, d’après le ministre, puisque que la maladie a fait son apparition dans une ferme isolée. « Il n’y a rien autour, et nous avons procédé effectivement à la désinfection totale des lieux », ajoute le ministre.
Afin d’éviter toute transmission humaine, des tests sont effectués sur le personnel. Les résultats sont plutôt encourageants. « Le personnel qui travaille dans cette ferme a fait des tests au niveau de l’Institut Pasteur et les résultats nous sont revenus négatifs », rassure Aly Saleh Diop.
Interpellé sur la question, le ministre de l’Élevage et des Productions animales, Aly Saleh Diop a fait savoir à nos confrères d'IRadio que toutes les mesures ont été prises pour contenir les cas de grippe aviaire H5N1 découverts, fin décembre, dans une ferme avicole à Ndiakhat, dans la commune de Pout.
« A la suite d’une analyse effectuée par le laboratoire national d’élevage et de recherches vétérinaires, à la suite de cette notification, nous avons évalué l’ampleur de la maladie, identifié les facteurs de risque et formulé les recommandations pour le contrôle rapide du foyer.
A la suite de cette mission, nous avons pris les dispositions idoines qui prévalent en la matière. Et il s’est agi d’appliquer les dispositions spéciales en procédant à l’incinération des sujets qui étaient déjà morts. Par la suite, nous avons immédiatement procédé à l’abattage de tous les autres sujets encore en vie », précise-t-il.
Les risques de contamination sont ainsi moindres, d’après le ministre, puisque que la maladie a fait son apparition dans une ferme isolée. « Il n’y a rien autour, et nous avons procédé effectivement à la désinfection totale des lieux », ajoute le ministre.
Afin d’éviter toute transmission humaine, des tests sont effectués sur le personnel. Les résultats sont plutôt encourageants. « Le personnel qui travaille dans cette ferme a fait des tests au niveau de l’Institut Pasteur et les résultats nous sont revenus négatifs », rassure Aly Saleh Diop.