« Cette histoire de diffamation qui met sens dessus dessous la République, les institutions et la société est absurde dans une démocratie qui marche sur ses jambes. On perd du temps et de l’argent et on crée des tensions inutiles.
On voudrait « couper » « les ailes », « paralyser » ou « affaiblir » le principal parti d’opposition et à son candidat, à la veille de la présidentielle de 2024, qu’on n’agirait pas autrement.
Si on veut créer ls conditions de succès du dialogue, il faut libérer les détenus politiques.
« La justice pénale au Sénégal, avec ces dispositions est en train de neutraliser tous les candidats présidentiables de l’opposition. C’est inédit dans l’histoire politique du Sénégal ».