« Depuis le 13 août, nous sommes en grève. Après plusieurs séances de grève et deux rounds de négociations, nous avons jugé utile de faire une évaluation à mi-parcours. Nous avons élaboré un plan d'action qui couvre tout le mois d'août, mais il reste une dernière ronde de négociations à venir. Nous avons décidé de rendre compte à la base pour qu'ils comprennent ce que nous avons obtenu comme accords ou non-accords, et pour décider ensemble de la suite de notre mouvement de grève. »
Marc Manga a ensuite détaillé les points centraux des revendications : « Nous avons listé plusieurs points, notamment l'augmentation de la subvention d'exploitation et l'octroi d'une subvention spéciale pour éponger la dette. Nous demandons également le relèvement de l'hôpital à un niveau 3. Ces points sont très importants et relèvent du niveau central. Nous avons demandé une audience avec le ministre de la Santé pour qu'il recueille les doléances des travailleurs de l'Hôpital de la Paix et apporte des solutions urgentes. »
Concernant les contrats des employés, Marc Manga a expliqué : « Il y a eu des promesses concernant la régularisation des contrats. Un groupe de travailleurs a reçu la promesse que ce problème sera résolu d'ici le 1er octobre 2024. Nous espérons que cet engagement sera respecté. »
Marc Manga a également déploré les conditions de travail : « L'hôpital de la Paix soigne dans tous les services, mais le toit soigne aussi, ce qui impacte la capacité d'accueil. Le personnel travaille souvent trempé, et les patients peuvent aussi être trempés à cause des fuites. Ce sont des problèmes qu'on a renvoyés au niveau central. Nous demandons que ces problèmes soient résolus avant de lever le mot d'ordre de grève. »
Il a aussi souligné l'importance de l'équipement : « Il n'est pas rare que lorsqu'on va à l'hôpital, on vous dise que certaines explorations ne sont pas disponibles. Des appareils sont en panne depuis deux ans. Nous avons insisté pour que notre laboratoire fonctionne et que toutes les explorations biologiques puissent se faire ici, au sein de l'hôpital. Nous avons les ressources humaines pour le faire, mais il faut que l'administration règle ce problème. »
Manga a rappelé l'urgence des problèmes non résolus : « Les travailleurs sont confrontés à l'injustice du non-paiement des indemnités et des primes. Ces arriérés doivent être résolus pour que nous levions notre mot d'ordre. »
Les travailleurs de l'Hôpital de la Paix restent déterminés, et attendent que leurs revendications soient prises en compte lors de la prochaine ronde de négociations.
Samboudiang Sakho / casa24
Marc Manga a ensuite détaillé les points centraux des revendications : « Nous avons listé plusieurs points, notamment l'augmentation de la subvention d'exploitation et l'octroi d'une subvention spéciale pour éponger la dette. Nous demandons également le relèvement de l'hôpital à un niveau 3. Ces points sont très importants et relèvent du niveau central. Nous avons demandé une audience avec le ministre de la Santé pour qu'il recueille les doléances des travailleurs de l'Hôpital de la Paix et apporte des solutions urgentes. »
Concernant les contrats des employés, Marc Manga a expliqué : « Il y a eu des promesses concernant la régularisation des contrats. Un groupe de travailleurs a reçu la promesse que ce problème sera résolu d'ici le 1er octobre 2024. Nous espérons que cet engagement sera respecté. »
Marc Manga a également déploré les conditions de travail : « L'hôpital de la Paix soigne dans tous les services, mais le toit soigne aussi, ce qui impacte la capacité d'accueil. Le personnel travaille souvent trempé, et les patients peuvent aussi être trempés à cause des fuites. Ce sont des problèmes qu'on a renvoyés au niveau central. Nous demandons que ces problèmes soient résolus avant de lever le mot d'ordre de grève. »
Il a aussi souligné l'importance de l'équipement : « Il n'est pas rare que lorsqu'on va à l'hôpital, on vous dise que certaines explorations ne sont pas disponibles. Des appareils sont en panne depuis deux ans. Nous avons insisté pour que notre laboratoire fonctionne et que toutes les explorations biologiques puissent se faire ici, au sein de l'hôpital. Nous avons les ressources humaines pour le faire, mais il faut que l'administration règle ce problème. »
Manga a rappelé l'urgence des problèmes non résolus : « Les travailleurs sont confrontés à l'injustice du non-paiement des indemnités et des primes. Ces arriérés doivent être résolus pour que nous levions notre mot d'ordre. »
Les travailleurs de l'Hôpital de la Paix restent déterminés, et attendent que leurs revendications soient prises en compte lors de la prochaine ronde de négociations.
Samboudiang Sakho / casa24