Deux éléments déterminants auront ponctué ses messages. D'abord faire savoir que l'Afrique ne peut plus se permettre de tendre la main sans rien donner en retour et ensuite que la fin de la migration clandestine reste assujettie à un certain nombre de mesures.
" En dépit des défis devant nous, je crois fermement que l’Afrique est sur la voie de l’émergence ; et que le temps est venu de poser un autre regard sur l'Afrique.
Le temps est venu de ne plus regarder l’Afrique juste comme une terre d’urgences humanitaires, ou de récipiendaire d’aide publique au développement. Mon point de vue est que si l’aide peut être un instrument ponctuel de solidarité, elle ne peut constituer une politique viable de développement à long terme. Un pays se développe en comptant sur ses propres efforts internes, combinés à l’investisssement étranger, grâce à un environnement propice aux affaires. "
Il poursuit : " en conséquence, le vrai enjeu de la coopération avec l' Afrique aujourd'hui, ce n'est plus comme augmenter l'aide publique au développement, mais surtout comment innover pour faciliter l'accès au crédit ; et comment soutenir l'investissement privé en Afrique par des mécanismes appropriés. "
Devant plusieurs personnalités dont le ministre- Président de la Bavière, des ministres, des ambassadeurs, le Président de l'Association allemande des Petites et Moyennes Entreprises, le Chef de l'État précisera que cela demande un changement de paradigme, "en considérant l’Afrique comme une opportunité de croissance pour l’économie mondiale ; parce que c’est le continent où tout, ou presque, reste encore à construire. Les besoins de développement de l’Afrique sont autant d’opportunités d’investissement et d’affaires pour ses partenaires. "
L'hôte de Berlin de signaler que chaque investissement en Afrique génère plus de prospérité partagée, plus d'emplois donc moins de chômage des jeunes et donc moins de tentation à la migration clandestine.
" En dépit des défis devant nous, je crois fermement que l’Afrique est sur la voie de l’émergence ; et que le temps est venu de poser un autre regard sur l'Afrique.
Le temps est venu de ne plus regarder l’Afrique juste comme une terre d’urgences humanitaires, ou de récipiendaire d’aide publique au développement. Mon point de vue est que si l’aide peut être un instrument ponctuel de solidarité, elle ne peut constituer une politique viable de développement à long terme. Un pays se développe en comptant sur ses propres efforts internes, combinés à l’investisssement étranger, grâce à un environnement propice aux affaires. "
Il poursuit : " en conséquence, le vrai enjeu de la coopération avec l' Afrique aujourd'hui, ce n'est plus comme augmenter l'aide publique au développement, mais surtout comment innover pour faciliter l'accès au crédit ; et comment soutenir l'investissement privé en Afrique par des mécanismes appropriés. "
Devant plusieurs personnalités dont le ministre- Président de la Bavière, des ministres, des ambassadeurs, le Président de l'Association allemande des Petites et Moyennes Entreprises, le Chef de l'État précisera que cela demande un changement de paradigme, "en considérant l’Afrique comme une opportunité de croissance pour l’économie mondiale ; parce que c’est le continent où tout, ou presque, reste encore à construire. Les besoins de développement de l’Afrique sont autant d’opportunités d’investissement et d’affaires pour ses partenaires. "
L'hôte de Berlin de signaler que chaque investissement en Afrique génère plus de prospérité partagée, plus d'emplois donc moins de chômage des jeunes et donc moins de tentation à la migration clandestine.