Après trois jours de bombardement intense a l'arme lourde, l'armée qui poursuit son assaut sur les positions du chef rebelle Salif Sadio a investi le terrain des opérations. Des affrontements entre combattants du mouvement irredentiste et soldats déployés se produisent depuis dans plusieurs localités de cette zone du département de Bignona qui abrite des cantonnement s rebelles. On nous apprends ce jeudi que l'armée a perdu un soldat dans ces affrontements. Elle a aussi enregistre cinq blessés sur le théâtre des opérations.
Pour le moment, l'armée ne se prononce pas sur le bilan des opérations en cours. L'on nous apprend que le mouvement des populations civiles se poursuit, Des sources proches de certaines localités du Nord Sindian nous signale que, pour la plupart, ce sont les combattants du MFDC qui les obligent de quitter. Sur le terrain, malgré une résistance du camp adverse, l'armée du Sénégal poursuit son avancée vers les positions qui restent à être conquises dans cette zone. Le camp adverse a perdu des cantonnements stratégiques tels que celui de Tampindour qui était une sorte de poste de contrôle douanier ou les camions qui transportent du bois en provenance de sa zone verse une sorte de " droit de coupe".
C'est cet argent qui lui servirait au chef rebelle de budget de fonctionnement, de prise en charge alimentaire et financière de ses hommes.
Pour le moment, l'armée ne se prononce pas sur le bilan des opérations en cours. L'on nous apprend que le mouvement des populations civiles se poursuit, Des sources proches de certaines localités du Nord Sindian nous signale que, pour la plupart, ce sont les combattants du MFDC qui les obligent de quitter. Sur le terrain, malgré une résistance du camp adverse, l'armée du Sénégal poursuit son avancée vers les positions qui restent à être conquises dans cette zone. Le camp adverse a perdu des cantonnements stratégiques tels que celui de Tampindour qui était une sorte de poste de contrôle douanier ou les camions qui transportent du bois en provenance de sa zone verse une sorte de " droit de coupe".
C'est cet argent qui lui servirait au chef rebelle de budget de fonctionnement, de prise en charge alimentaire et financière de ses hommes.