Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) exprime sa profonde préoccupation face au sort des nouveaux bacheliers après les nombreuses récriminations consécutives à la nouvelle forme d’orientation sous forme de sms. « En effet, après plusieurs années de sacrifices et d’efforts consentis, les étudiants sont compléments déboussolés par cette nouvelle forme d’orientation. « Comment peut-on, les orienter dans un premier temps et ensuite leur envoyer un autre message leur demandant de faire un autre choix, le tout dans un délai court ? D’autres encore moins chanceux sont orientés dans d’autres régions, sans tenir compte de leur choix initial » explique ADHA.
Selon l’ONG, nos autorités doivent être plus regardantes sur l’orientation et les délais consentis pour éviter les éventuels découragements et désistements pour venir renforcer le lot de jeunes confrontés au chômage, au banditisme, à la drogue et aux risques accrus liés au phénomène de la migration irrégulière. Et rappelle aux représentants des étudiants, au Conseil universitaire, ainsi qu’aux conseils des différentes facultés, qu’un nouveau bachelier est un étudiant, et par conséquent, ils sont tenus de défendre leurs intérêts, et qu’ils doivent jouer leur rôle de protection des étudiants afin de les accueillir dans d’excellentes conditions de performances.
« De réelles mesures doivent être prises et appliquées sans tarder pour garantir une bonne rentrée académique, et pourquoi pas la tenue des assises de l’Enseignement au Sénégal », conclut ADHA.
Selon l’ONG, nos autorités doivent être plus regardantes sur l’orientation et les délais consentis pour éviter les éventuels découragements et désistements pour venir renforcer le lot de jeunes confrontés au chômage, au banditisme, à la drogue et aux risques accrus liés au phénomène de la migration irrégulière. Et rappelle aux représentants des étudiants, au Conseil universitaire, ainsi qu’aux conseils des différentes facultés, qu’un nouveau bachelier est un étudiant, et par conséquent, ils sont tenus de défendre leurs intérêts, et qu’ils doivent jouer leur rôle de protection des étudiants afin de les accueillir dans d’excellentes conditions de performances.
« De réelles mesures doivent être prises et appliquées sans tarder pour garantir une bonne rentrée académique, et pourquoi pas la tenue des assises de l’Enseignement au Sénégal », conclut ADHA.