"Depuis notre arrivée, on a travaillé sur un plan stratégique de relance, et il a été présenté au Conseil d'administration, qui l'a validé. Cette stratégie repose principalement sur le retour à la base, le retour aux sources de pourquoi la Sonacos est née."
Il a rappelé que la Sonacos joue un rôle crucial au Sénégal, couvrant l'ensemble de la chaîne de valeur de la production, de l'agriculture à l'industrie en passant par la commercialisation.
"La Sonacos est la seule société au Sénégal qui est sur toute la chaîne de valeur de production, c'est-à-dire la partie agricole, la partie industrielle et la partie commerciale. Cela fait de la société un leader, non seulement dans son domaine, mais en termes d'impact dans le pays."
El Hadji Ndane Diagne a souligné l'importance de l'emploi généré par la Sonacos, notamment lors des campagnes saisonnières où le nombre d'employés peut atteindre jusqu'à 7 000.
"Nous employons non seulement des collaborateurs avec des contrats à durée indéterminée, mais en période de campagne, nous pouvons aller jusqu'à 5 000, 6 000 emplois saisonniers."
Malgré les défis rencontrés, il a exprimé sa confiance en l'avenir de l'entreprise. L'une des priorités est la modernisation progressive du parc industriel pour améliorer la productivité et réduire les coûts.
"Aujourd'hui, l'usine de Ziguinchor a été construite en 1932. Il y a eu des changements, des travaux, des réflexions. À l'extérieur, elle peut sembler vieille, mais à l'intérieur, ce sont des machines qui peuvent faire le boulot."
Concernant la concurrence, notamment celle des opérateurs étrangers, El Hadji Ndane Diagne a exprimé son engagement à relever les défis tout en soulignant l'importance de la protection de la production nationale.
"Nous n'avons pas peur de la concurrence. Cependant, il est inadmissible et inacceptable qu'un pays finance et subventionne une production, et que cette production se retrouve exportée sans valeur ajoutée ni création d'emplois."
Il a également mentionné le soutien des autorités, notamment du ministre de l'Industrie et du ministre de l'Agriculture, pour trouver des solutions aux problèmes rencontrés.
"Le ministre de l'Industrie m'a bien confirmé qu'il me recevra pour parler de ses difficultés et de ses problèmes. On a l'accompagnement total et le soutien absolu du ministre de l'Agriculture, qui nous a accompagnés et qui est venu la semaine passée visiter notre usine de Kaolack."
El Hadji Ndane Diagne a exprimé son optimisme quant au futur de la Sonacos et à la détermination de ses collaborateurs à surmonter les obstacles pour relancer la production d'huile à partir de l'arachide produite au Sénégal.
casa24
Il a rappelé que la Sonacos joue un rôle crucial au Sénégal, couvrant l'ensemble de la chaîne de valeur de la production, de l'agriculture à l'industrie en passant par la commercialisation.
"La Sonacos est la seule société au Sénégal qui est sur toute la chaîne de valeur de production, c'est-à-dire la partie agricole, la partie industrielle et la partie commerciale. Cela fait de la société un leader, non seulement dans son domaine, mais en termes d'impact dans le pays."
El Hadji Ndane Diagne a souligné l'importance de l'emploi généré par la Sonacos, notamment lors des campagnes saisonnières où le nombre d'employés peut atteindre jusqu'à 7 000.
"Nous employons non seulement des collaborateurs avec des contrats à durée indéterminée, mais en période de campagne, nous pouvons aller jusqu'à 5 000, 6 000 emplois saisonniers."
Malgré les défis rencontrés, il a exprimé sa confiance en l'avenir de l'entreprise. L'une des priorités est la modernisation progressive du parc industriel pour améliorer la productivité et réduire les coûts.
"Aujourd'hui, l'usine de Ziguinchor a été construite en 1932. Il y a eu des changements, des travaux, des réflexions. À l'extérieur, elle peut sembler vieille, mais à l'intérieur, ce sont des machines qui peuvent faire le boulot."
Concernant la concurrence, notamment celle des opérateurs étrangers, El Hadji Ndane Diagne a exprimé son engagement à relever les défis tout en soulignant l'importance de la protection de la production nationale.
"Nous n'avons pas peur de la concurrence. Cependant, il est inadmissible et inacceptable qu'un pays finance et subventionne une production, et que cette production se retrouve exportée sans valeur ajoutée ni création d'emplois."
Il a également mentionné le soutien des autorités, notamment du ministre de l'Industrie et du ministre de l'Agriculture, pour trouver des solutions aux problèmes rencontrés.
"Le ministre de l'Industrie m'a bien confirmé qu'il me recevra pour parler de ses difficultés et de ses problèmes. On a l'accompagnement total et le soutien absolu du ministre de l'Agriculture, qui nous a accompagnés et qui est venu la semaine passée visiter notre usine de Kaolack."
El Hadji Ndane Diagne a exprimé son optimisme quant au futur de la Sonacos et à la détermination de ses collaborateurs à surmonter les obstacles pour relancer la production d'huile à partir de l'arachide produite au Sénégal.
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