Certains precheurs qui avaient l'habitude de remplir leurs portes monnaie durant ce mois béni de ramadan, sont obligés de déprogrammer tous les engagements qu'ils a avaient pris avant la pénétration du coronavirus dans notre pays. En cause, les mesures sanitaires édictées par les autorités sont passées par là. Il suffit de faire un tour dans certaines mosquées qui accueillaient beaucoup de monde qui vient écouter la preche durant ce mois. Les lieux sont vides, desertés par les habituels occupants.
Plusieurs precheurs tirent le diable par la queue, il n y a point de rassemblements, encore moins de confrences réligieuses permettant à ces derniers de remplir leurs poches.
"les temps sont durs, avec le coronavirus. On est obligé de tout annuler, déprogrammer", déclare un maitre coranique dont la preche est trés courue pendant ce moi de ramadan.
la redaction
Plusieurs precheurs tirent le diable par la queue, il n y a point de rassemblements, encore moins de confrences réligieuses permettant à ces derniers de remplir leurs poches.
"les temps sont durs, avec le coronavirus. On est obligé de tout annuler, déprogrammer", déclare un maitre coranique dont la preche est trés courue pendant ce moi de ramadan.
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