Contrairement aux années précédentes, le mois béni de ramadan de cette année, n'est pas vécu de la meme maniere. La crise sanitaire qui sévit dans le pays, la région de Ziguinchor en particulier, fait que la bourse des responsables de famille en a beaucoup souffert, pour ne dire qu'elle est touchée de plein fouet. Les mesures édictées par le gouvernement pour combattre le virus, ont fait que nombre de péres de familles sont au chomage, et du coup, leurs portes feuilles ont subi les conséquences néfastes de cette sanitaire.
"nous sommes obligés de revoir à la baisse la dépense qu'on faisait avant le coronavirus", nous confie un responsable de famille qui requis l'anonymat . Et d'ajouter, "surtout avec le mois de ramadan, on faisait beaucoup de dépenses parfois inutiles . On jette souvent le reste des aliments qu'on ne parvenait pas à consommer".
Cette crise sanitaire qui a engendré la crise économique, a envoyé beaucoup de travailleurs au chomage technique, d'autres ont vu leurs salaires revus en baisse de façon drastique. Dés lors, cette situation a eu des répercussions dans le panier de la ménagére à Ziguinchor.
"nous dépensons juste pour le minimum. Pas de pagaille, ou de gaspillage. Nous achetons juste ce que nous pourrons consommer. On vit avec les moyens du bord", explique Malang Sonko, employé dans une unité de transformation de la place.
"les femmes doivent avoir pitié de leurs maris et les soutenir. Car, les choses ne sont plus comme avant. Avec le mois béni de ramadan, les gens dépensent plus qu'ils ne consomment. Et comme les portes feuilles ont subi les conséquences du coronavirus, donc, il faut qu'on mette de l'ordre dans notre consommation", expliquent des femmes rencontrées au marché mancagne de Boucotte.
la rédaction
"nous sommes obligés de revoir à la baisse la dépense qu'on faisait avant le coronavirus", nous confie un responsable de famille qui requis l'anonymat . Et d'ajouter, "surtout avec le mois de ramadan, on faisait beaucoup de dépenses parfois inutiles . On jette souvent le reste des aliments qu'on ne parvenait pas à consommer".
Cette crise sanitaire qui a engendré la crise économique, a envoyé beaucoup de travailleurs au chomage technique, d'autres ont vu leurs salaires revus en baisse de façon drastique. Dés lors, cette situation a eu des répercussions dans le panier de la ménagére à Ziguinchor.
"nous dépensons juste pour le minimum. Pas de pagaille, ou de gaspillage. Nous achetons juste ce que nous pourrons consommer. On vit avec les moyens du bord", explique Malang Sonko, employé dans une unité de transformation de la place.
"les femmes doivent avoir pitié de leurs maris et les soutenir. Car, les choses ne sont plus comme avant. Avec le mois béni de ramadan, les gens dépensent plus qu'ils ne consomment. Et comme les portes feuilles ont subi les conséquences du coronavirus, donc, il faut qu'on mette de l'ordre dans notre consommation", expliquent des femmes rencontrées au marché mancagne de Boucotte.
la rédaction