La Mauritanie, destinataire des munitions volées à Ouakam, a réagi à cette affaire, via un communiqué. Selon les autorités mauritaniennes, les munitions étaient destinées à l’association de tir à la cible traditionnelle.
Le gouvernement mauritanien affirme, dans le même temps, avoir identifié la source des munitions saisies et la personne censée les recevoir. Une thèse très peu convaincante selon Les Echos, qui donne l’information, soulignant que le nouveau Président Ghazouani est suspecté d’armer des groupes.
4500 cartouches d’AK-47, un fusil d’assaut russe, ont été saisies, rappelle-t-on.