Dans cette phase 2 du Programme d’Urgence de développement communautaire, (Pudc), les besoins en infrastructures ont été passés en revue par les différents acteurs qui évoluent dans le cadre du développement dans cette partie sud du Sénégal.
Venus nombreux participer à la rencontre, les élus des collectivités territoriales, ont, pour leur part fait cas de leurs difficultés qu’ils rencontrent quotidiennement dans leurs circonscriptions administratives. En souhaitant qu’elles soient prises en compte par le Pudc dans sa seconde phase.
Répondant aux nombreuses sollicitations, issues des échanges, entre techniciens et maires, le coordonateur national du Pudc a tracé les grands axes de la seconde phase du programme en Casamance. A savoir dans les trois régions : Sédhiou , Kolda et Ziguinchor.
Selon Cheikh Diop, l’action du Pudc, va se concentrer surtout, dans la construction des forages, d’écoles, de pistes de production et routes. « Là où le besoin se fait ressentir », a tenu à préciser.
« Rien que le financement de la Banque islamique de développement(Bid), ses trente milliards sont octroyés à la casamance pour la réalisation de plusieurs infrastructures. Surtout, dans le domaine de l’hydraulique, de l’électrification rurale, et la construction des écoles », expliqué Cheikh Diop, à la fin de rencontre.
Revenant sur le nombre d’équipements à réaliser en Casamance, M. Diop a soutenu que trente postes de santé, seize écoles, dont quatre forages prévus pour la région de Ziguinchor. Non sans compter les réalisations qui seront faites dans l’électrification rurale.
D’après le coordonateur national du Pudc, étant donné que la Casamance ne faisait pas partie de la première phase, cette seconde est une occasion pour qu’elle bénéficie d’importantes réalisations génératrices de revenus. Mais aussi, ajoute t il, pour contribuer à réduire les inégalités sociales en améliorant l’accès aux infrastructures et équipements socio économiques de base.
L’adjoint au gouverneur qui a présidé cet atelier de lancement technique du Pudc, a pour sa part, indiqué qu’une bonne partie de cette seconde va être réservée à l’électrification rurale. Car, pour lui, 90% des demandes, constitue l’électricité.
Pour cette phase seconde phase du Pudc, note t il, des écoles seront construites, avant d’ajouter que trente quatre villages seront électrifiés en électrification solaire, et onze villages en électricité moyenne et base tension.
Pour rappel, le lancement officiel de la seconde phase du Programme d’urgence de Développement communautaire(Pudc) a été fait par le chef de l’Etat Macky Sall en octobre 2018 à Bignona.
la redaction
Venus nombreux participer à la rencontre, les élus des collectivités territoriales, ont, pour leur part fait cas de leurs difficultés qu’ils rencontrent quotidiennement dans leurs circonscriptions administratives. En souhaitant qu’elles soient prises en compte par le Pudc dans sa seconde phase.
Répondant aux nombreuses sollicitations, issues des échanges, entre techniciens et maires, le coordonateur national du Pudc a tracé les grands axes de la seconde phase du programme en Casamance. A savoir dans les trois régions : Sédhiou , Kolda et Ziguinchor.
Selon Cheikh Diop, l’action du Pudc, va se concentrer surtout, dans la construction des forages, d’écoles, de pistes de production et routes. « Là où le besoin se fait ressentir », a tenu à préciser.
« Rien que le financement de la Banque islamique de développement(Bid), ses trente milliards sont octroyés à la casamance pour la réalisation de plusieurs infrastructures. Surtout, dans le domaine de l’hydraulique, de l’électrification rurale, et la construction des écoles », expliqué Cheikh Diop, à la fin de rencontre.
Revenant sur le nombre d’équipements à réaliser en Casamance, M. Diop a soutenu que trente postes de santé, seize écoles, dont quatre forages prévus pour la région de Ziguinchor. Non sans compter les réalisations qui seront faites dans l’électrification rurale.
D’après le coordonateur national du Pudc, étant donné que la Casamance ne faisait pas partie de la première phase, cette seconde est une occasion pour qu’elle bénéficie d’importantes réalisations génératrices de revenus. Mais aussi, ajoute t il, pour contribuer à réduire les inégalités sociales en améliorant l’accès aux infrastructures et équipements socio économiques de base.
L’adjoint au gouverneur qui a présidé cet atelier de lancement technique du Pudc, a pour sa part, indiqué qu’une bonne partie de cette seconde va être réservée à l’électrification rurale. Car, pour lui, 90% des demandes, constitue l’électricité.
Pour cette phase seconde phase du Pudc, note t il, des écoles seront construites, avant d’ajouter que trente quatre villages seront électrifiés en électrification solaire, et onze villages en électricité moyenne et base tension.
Pour rappel, le lancement officiel de la seconde phase du Programme d’urgence de Développement communautaire(Pudc) a été fait par le chef de l’Etat Macky Sall en octobre 2018 à Bignona.
la redaction