Le centre psychiatrique Emile Badiane de Kénia est le seul qui polarise cinq régions du Sénégal, à savoir : Sédhiou, kolda, Ziguinchor, Tamba et Kédougou rencontre de sérieuses difficultés dans son fonctionnement. A en croire son directeur, ledit centre qui accueille les personnes qui ne jouissent pas de toutes leurs facultés mentales souffre de manque de certaines commodités.
Selon Adama Coundoul, le centre est une institution de l’Etat, qui fait le service public.
« C’est un hôpital qui marche avec le budget de l’Etat. Et que celui-ci, n’est jamais suffisant. Donc, il faut toujours chercher des moyens supplémentaires pour pouvoir faire fonctionner l’institution », a expliqué le directeur de cette infrastructure sanitaire.
Poursuivant, Adama Coundoul a affirmé que le centre psychiatrique est confronté à des problémes. Mais le plus ressenti selon lui, est l’absence de cuisine.
« Il y a beaucoup de malades qui le fréquentent. Et beaucoup vient de la sous région. A soir : la Gambie, la Guinée Bissau et la Guinée. Une fois arrivés dans le centre, ils vont devoir trouver les moyens pour se nourrir », a ajouté M. Coundoul, estimant que si le centre possède une cuisine, ça aillait amoindrir la souffrance des proches des malades qui sont obligés de sortir pour trouver de la nourriture.
En outre, le directeur Coundoul a indiqué que le centre est dépourvu de groupe électrogène. Et les coupures, freinent sérieusement le rythme du travail.
« Quand il y a délestages, les activités sont à l’arrêt. Cela nous cause beaucoup de problèmes. Imaginer des malades spéciaux qui passent la nuit dans l’obscurité. Souvent, ce sont leurs accompagnateurs qui achètent des bougies pour éclairer les chambres des pensionnaires.
Nonobstant ces difficultés, le directeur a tenu à rassurer les populations sur le dynamise du personnel, toujours prompt à porter main forte aux malades.
Pour sa part, Mamadou Lamine Gueye, directeur de cauri, face à cette sortie du directeur du centre psychiatrique Emile Badiane de Kénia, a lancé un appel solennel à toutes les bonnes volontés de venir en aide aux malades.
« Je demande à toutes les filles et fils de ce pays, de venir au chevet des pensionnaires de ce centre pour régler définitivement le problème de restauration », a-t-il dit.
Le centre psychiatrique Emile Badiane de Kénia est le seul qui polarise cinq régions du Sénégal, à savoir : Sédhiou, kolda, Ziguinchor, Tamba et Kédougou rencontre de sérieuses difficultés dans son fonctionnement. A en croire son directeur, ledit centre qui accueille les personnes qui ne jouissent pas de toutes leurs facultés mentales souffre de manque de certaines commodités.
Selon Adama Coundoul, le centre est une institution de l’Etat, qui fait le service public.
« C’est un hôpital qui marche avec le budget de l’Etat. Et que celui-ci, n’est jamais suffisant. Donc, il faut toujours chercher des moyens supplémentaires pour pouvoir faire fonctionner l’institution », a expliqué le directeur de cette infrastructure sanitaire.
Poursuivant, Adama Coundoul a affirmé que le centre psychiatrique est confronté à des problémes. Mais le plus ressenti selon lui, est l’absence de cuisine.
« Il y a beaucoup de malades qui le fréquentent. Et beaucoup vient de la sous région. A soir : la Gambie, la Guinée Bissau et la Guinée. Une fois arrivés dans le centre, ils vont devoir trouver les moyens pour se nourrir », a ajouté M. Coundoul, estimant que si le centre possède une cuisine, ça aillait amoindrir la souffrance des proches des malades qui sont obligés de sortir pour trouver de la nourriture.
En outre, le directeur Coundoul a indiqué que le centre est dépourvu de groupe électrogène. Et les coupures, freinent sérieusement le rythme du travail.
« Quand il y a délestages, les activités sont à l’arrêt. Cela nous cause beaucoup de problèmes. Imaginer des malades spéciaux qui passent la nuit dans l’obscurité. Souvent, ce sont leurs accompagnateurs qui achètent des bougies pour éclairer les chambres des pensionnaires.
Nonobstant ces difficultés, le directeur a tenu à rassurer les populations sur le dynamise du personnel, toujours prompt à porter main forte aux malades.
Pour sa part, Mamadou Lamine Gueye, directeur de cauri, face à cette sortie du directeur du centre psychiatrique Emile Badiane de Kénia, a lancé un appel solennel à toutes les bonnes volontés de venir en aide aux malades.
« Je demande à toutes les filles et fils de ce pays, de venir au chevet des pensionnaires de ce centre pour régler définitivement le problème de restauration », a-t-il dit.
la redaction
Selon Adama Coundoul, le centre est une institution de l’Etat, qui fait le service public.
« C’est un hôpital qui marche avec le budget de l’Etat. Et que celui-ci, n’est jamais suffisant. Donc, il faut toujours chercher des moyens supplémentaires pour pouvoir faire fonctionner l’institution », a expliqué le directeur de cette infrastructure sanitaire.
Poursuivant, Adama Coundoul a affirmé que le centre psychiatrique est confronté à des problémes. Mais le plus ressenti selon lui, est l’absence de cuisine.
« Il y a beaucoup de malades qui le fréquentent. Et beaucoup vient de la sous région. A soir : la Gambie, la Guinée Bissau et la Guinée. Une fois arrivés dans le centre, ils vont devoir trouver les moyens pour se nourrir », a ajouté M. Coundoul, estimant que si le centre possède une cuisine, ça aillait amoindrir la souffrance des proches des malades qui sont obligés de sortir pour trouver de la nourriture.
En outre, le directeur Coundoul a indiqué que le centre est dépourvu de groupe électrogène. Et les coupures, freinent sérieusement le rythme du travail.
« Quand il y a délestages, les activités sont à l’arrêt. Cela nous cause beaucoup de problèmes. Imaginer des malades spéciaux qui passent la nuit dans l’obscurité. Souvent, ce sont leurs accompagnateurs qui achètent des bougies pour éclairer les chambres des pensionnaires.
Nonobstant ces difficultés, le directeur a tenu à rassurer les populations sur le dynamise du personnel, toujours prompt à porter main forte aux malades.
Pour sa part, Mamadou Lamine Gueye, directeur de cauri, face à cette sortie du directeur du centre psychiatrique Emile Badiane de Kénia, a lancé un appel solennel à toutes les bonnes volontés de venir en aide aux malades.
« Je demande à toutes les filles et fils de ce pays, de venir au chevet des pensionnaires de ce centre pour régler définitivement le problème de restauration », a-t-il dit.
Le centre psychiatrique Emile Badiane de Kénia est le seul qui polarise cinq régions du Sénégal, à savoir : Sédhiou, kolda, Ziguinchor, Tamba et Kédougou rencontre de sérieuses difficultés dans son fonctionnement. A en croire son directeur, ledit centre qui accueille les personnes qui ne jouissent pas de toutes leurs facultés mentales souffre de manque de certaines commodités.
Selon Adama Coundoul, le centre est une institution de l’Etat, qui fait le service public.
« C’est un hôpital qui marche avec le budget de l’Etat. Et que celui-ci, n’est jamais suffisant. Donc, il faut toujours chercher des moyens supplémentaires pour pouvoir faire fonctionner l’institution », a expliqué le directeur de cette infrastructure sanitaire.
Poursuivant, Adama Coundoul a affirmé que le centre psychiatrique est confronté à des problémes. Mais le plus ressenti selon lui, est l’absence de cuisine.
« Il y a beaucoup de malades qui le fréquentent. Et beaucoup vient de la sous région. A soir : la Gambie, la Guinée Bissau et la Guinée. Une fois arrivés dans le centre, ils vont devoir trouver les moyens pour se nourrir », a ajouté M. Coundoul, estimant que si le centre possède une cuisine, ça aillait amoindrir la souffrance des proches des malades qui sont obligés de sortir pour trouver de la nourriture.
En outre, le directeur Coundoul a indiqué que le centre est dépourvu de groupe électrogène. Et les coupures, freinent sérieusement le rythme du travail.
« Quand il y a délestages, les activités sont à l’arrêt. Cela nous cause beaucoup de problèmes. Imaginer des malades spéciaux qui passent la nuit dans l’obscurité. Souvent, ce sont leurs accompagnateurs qui achètent des bougies pour éclairer les chambres des pensionnaires.
Nonobstant ces difficultés, le directeur a tenu à rassurer les populations sur le dynamise du personnel, toujours prompt à porter main forte aux malades.
Pour sa part, Mamadou Lamine Gueye, directeur de cauri, face à cette sortie du directeur du centre psychiatrique Emile Badiane de Kénia, a lancé un appel solennel à toutes les bonnes volontés de venir en aide aux malades.
« Je demande à toutes les filles et fils de ce pays, de venir au chevet des pensionnaires de ce centre pour régler définitivement le problème de restauration », a-t-il dit.
la redaction