A l'instar des autres capitales régionales du Sénégal, Ziguinchor traverse des moments difficiles à cause de l'Etat d'urgence decrété par le chef de l'Etat, Macky Sall. Aujourd'hui, avec les mesures prises, à savoir le couvre feu, et l'interdiction du transport urbain et inter urbain, la mobilité des populations est strictement réduite. Du coup, les échanges sont presque inéxistants, au grand dam des populations, surtout des commerçantes qui en souffrent.
"pour aller meme à Tobor dix kilométres de Ziguinchor, il nous faut une autorisation de circuler", déplore une commerçante du marché mancagne.
Pour rappel, l'économie de Ziguinchor qui est basée essentiellement sur le secteur informel subit les affres de cette crise sanitaire. " le bateau qui transportait les bagages a arreté ses rotations entre Ziguinchor et Dakar. La route n'en parlons pas. les frontiéres sont fermées, et il est trés difficile de faire passer les marchandises par la route, meme si on nous parle de possibilité pour les camions de transporter les vivres", fait savoir Moussa Guéye, commerçant au marché Boucotte.
En outre, le transport en a pris pour son grade. Depuis plus de deux semaines, la gare routiére est fermée. Les petites activités économiques qui étaient au tour, et apportaient de l'argent n'existent plus.
Beaucoup de personnes qui tenaient des activités lucratives sont au chomage en attendant la fin de l'Etat d'urgence pour reprendre leur travail.
la redaction
"pour aller meme à Tobor dix kilométres de Ziguinchor, il nous faut une autorisation de circuler", déplore une commerçante du marché mancagne.
Pour rappel, l'économie de Ziguinchor qui est basée essentiellement sur le secteur informel subit les affres de cette crise sanitaire. " le bateau qui transportait les bagages a arreté ses rotations entre Ziguinchor et Dakar. La route n'en parlons pas. les frontiéres sont fermées, et il est trés difficile de faire passer les marchandises par la route, meme si on nous parle de possibilité pour les camions de transporter les vivres", fait savoir Moussa Guéye, commerçant au marché Boucotte.
En outre, le transport en a pris pour son grade. Depuis plus de deux semaines, la gare routiére est fermée. Les petites activités économiques qui étaient au tour, et apportaient de l'argent n'existent plus.
Beaucoup de personnes qui tenaient des activités lucratives sont au chomage en attendant la fin de l'Etat d'urgence pour reprendre leur travail.
la redaction