Les femmes du petit marché de Lyndiane, communément appelé 1er pont, sont dans le désarroi total, et ne savent sur quelle activité s'appuyer pour survivre. Ces derniéres, pour la plupart veuves, sonnent l'alarme pour montrer leur inquiétude face decret préfectoral qui leur interdit de vendre leurs poissons à ce lieu jusqu'à nouvel ordre.
" nous avons appris cette décision du préfet avec tristesse et désolation. Nous n'avons pas où aller. On trouve notre gagne pain au premier pont, où on vend du poisson, d'autres des légumes et fruits. C'est avec cet argent, que nous parvenons à nourrir nos familles. Car, la plupart d'entre nous , sont des veuves", expplique Mariama Dianké Coly.
Sa voisine immédiate, répondant au nom de Fanta, a fait savoir que "bien vrai que le pays fait face à une crise sanitaire trés sérieuse, le gouvernement doit revoir les mesures édictées. Car,soutient t elle, les gens sont fatigués et il n y a plus d'activités leur permettant d'assurer les sept jours de dépenses quotidiennes".
Faisant une analyse poussée, Amsatou Sonko pense que c'est à cause des cas de coronavirus détectés dans leur quartier Lyndiane. Elle est d'avis que le gouvernement doit trouver d'autres moyens afin de leur venir en aide. "toutes les femmes qui vendent au premier de Lyndiane nourrissent beaucoup de personnes, et payent la scolarité de leurs enfants. Et, note t elle, d'autres sont en location. Donc, laisse t elle entendre,"les femmes sont trés fatiguées. Elles ne peuvent plus travailler. Le gouvernement leur demande de rester à la maison sans mesures d'accompagnement. c'est inquiétant", a t elle dit.
la redaction
" nous avons appris cette décision du préfet avec tristesse et désolation. Nous n'avons pas où aller. On trouve notre gagne pain au premier pont, où on vend du poisson, d'autres des légumes et fruits. C'est avec cet argent, que nous parvenons à nourrir nos familles. Car, la plupart d'entre nous , sont des veuves", expplique Mariama Dianké Coly.
Sa voisine immédiate, répondant au nom de Fanta, a fait savoir que "bien vrai que le pays fait face à une crise sanitaire trés sérieuse, le gouvernement doit revoir les mesures édictées. Car,soutient t elle, les gens sont fatigués et il n y a plus d'activités leur permettant d'assurer les sept jours de dépenses quotidiennes".
Faisant une analyse poussée, Amsatou Sonko pense que c'est à cause des cas de coronavirus détectés dans leur quartier Lyndiane. Elle est d'avis que le gouvernement doit trouver d'autres moyens afin de leur venir en aide. "toutes les femmes qui vendent au premier de Lyndiane nourrissent beaucoup de personnes, et payent la scolarité de leurs enfants. Et, note t elle, d'autres sont en location. Donc, laisse t elle entendre,"les femmes sont trés fatiguées. Elles ne peuvent plus travailler. Le gouvernement leur demande de rester à la maison sans mesures d'accompagnement. c'est inquiétant", a t elle dit.
la redaction