Plus de 500 hectares, fait objet de polémique entre la mairie de Niaguis et les populations de Baraff, Djibélor, Boucotte Mancagne entre autres…
Les populations propriétaires des terres nouvellement loties rejettent la clé de répartition des terres qui leur attribue moins de trente pour cent. Quatre membres du Comité de veille et d'alerte mis en place par les populations des villages impactés par le lotissement, sont déférés à la maison d’arrêt de Ziguinchor depuis 2 mois. Il nous revient que ces derniers sont accusés par la municipalité de Niaguis d'avoir détruit des bornes dudit lotissement.
Il s'agit de Benoit Diatta, Idrissa Sané, Abdou Diémé et Henry Ndecky, tous membres actifs de ce dit comité créé par les populations de ces villages cités ci-dessus pour défendre les intérêts des autochtones.
Joint par téléphone Simon Pierre Diédhiou du Mouvement Vision Citoyenne se désole : ‘’ Tout porterait à croire que c'est la Casamance que ces hommes qui ne faisaient que barrés la route à ces détracteurs fonciers sont maintenus en prison et ce depuis plus de Deux mois. C'est avec une très grande désolation que je vous extériorise les ressentis d'un cœur meurtri tout en espérant que cette fois-ci son crie de cœur sera entendu.’’ dit-il.
Samboudiang Sakho / casa24.sn
Les populations propriétaires des terres nouvellement loties rejettent la clé de répartition des terres qui leur attribue moins de trente pour cent. Quatre membres du Comité de veille et d'alerte mis en place par les populations des villages impactés par le lotissement, sont déférés à la maison d’arrêt de Ziguinchor depuis 2 mois. Il nous revient que ces derniers sont accusés par la municipalité de Niaguis d'avoir détruit des bornes dudit lotissement.
Il s'agit de Benoit Diatta, Idrissa Sané, Abdou Diémé et Henry Ndecky, tous membres actifs de ce dit comité créé par les populations de ces villages cités ci-dessus pour défendre les intérêts des autochtones.
Joint par téléphone Simon Pierre Diédhiou du Mouvement Vision Citoyenne se désole : ‘’ Tout porterait à croire que c'est la Casamance que ces hommes qui ne faisaient que barrés la route à ces détracteurs fonciers sont maintenus en prison et ce depuis plus de Deux mois. C'est avec une très grande désolation que je vous extériorise les ressentis d'un cœur meurtri tout en espérant que cette fois-ci son crie de cœur sera entendu.’’ dit-il.
Samboudiang Sakho / casa24.sn