"Les chiffres sont plus alarmants , parce que déja en 2014, lorsque j'étais à l'Unicef, au niveau de l'inspection d'académie de Ziguinchor, on avait relevé 520 cas de grossesses précoces au niveau des écoles", tient mordicus à rappeler Alhousseynou Gassama.
"Et l'inspecteur de l'ief de Bignona2 vient de me dire que 51 cas de grossesses ont été recensés au niveau des colléges. il y a des colléges, où il y a une dizaine de cas. c'est effrayant comme situation", a t il ajouté
Abordant la panoplie des auteurs, M. Gassama de soutenir qu'il y a des grossesses dont les auteurs sont inconnues. cela signifie que la cible a eu plusieurs partenaires, et elle est incapable de déterminer qui en est l'auteur. Mais en dehors de cela, dit il, " il y a aussi les enseignants qui sont concernés, il faut les interpeler". " 5% des cas de grossesses précoces en milieu scolaire qui ont été identifiées, dans le département de Bignona, sont le fait d'enseignants. Donc, il est important qu'on puisse les sensibiliser. car, ce sont eux les premiers protecteurs, qui sont sensés protéger et sécuriser les enfants. Et si eux memes sont impliqués dans ces actes de violence, alors il y a de quoi s'inquiéter", déplore Alhousseynou Gassama, consultant en Education.
la rédaction
"Et l'inspecteur de l'ief de Bignona2 vient de me dire que 51 cas de grossesses ont été recensés au niveau des colléges. il y a des colléges, où il y a une dizaine de cas. c'est effrayant comme situation", a t il ajouté
Abordant la panoplie des auteurs, M. Gassama de soutenir qu'il y a des grossesses dont les auteurs sont inconnues. cela signifie que la cible a eu plusieurs partenaires, et elle est incapable de déterminer qui en est l'auteur. Mais en dehors de cela, dit il, " il y a aussi les enseignants qui sont concernés, il faut les interpeler". " 5% des cas de grossesses précoces en milieu scolaire qui ont été identifiées, dans le département de Bignona, sont le fait d'enseignants. Donc, il est important qu'on puisse les sensibiliser. car, ce sont eux les premiers protecteurs, qui sont sensés protéger et sécuriser les enfants. Et si eux memes sont impliqués dans ces actes de violence, alors il y a de quoi s'inquiéter", déplore Alhousseynou Gassama, consultant en Education.
la rédaction