Le département de Bignona mène une lutte sans faille contre le coronavirus. Depuis sa pénétration dans notre pays, plusieurs initiatives ont été prises, soit par des responsables politiques, des particuliers, ou des acteurs sanitaires.
Mais cette fois, ce sont bien des élèves et étudiants, qui veulent mettre leurs vacances au profit de la population.
C’est ainsi, qu’ils ont décidé de venir en aide au comité départemental de riposte contre le coronavirus de Bignona. Au total, trois cent jeunes, dont la moyenne d’âge est vingt ans, ont abandonné cahiers et bics, pour se mettre au service des habitants du département de Bignona. Surtout, ceux qui habitent dans les villages frontiers, d’où il n y a aucun control pour les entrées et sorties.
« L’Etat ne peut pas tout faire, et être partout. Donc, c’est pourquoi, nous avons décidé de le représenter là où il est absent », souligne le président du comité de surveillance.
Pour Cheikh Ababacar Diatta, il est important de surveiller les entrées et sorties. Car, poursuit t il, « il n y a aucun control ».
« On est prêt à signaler tout cas suspect venant de l’extérieur. On ne va pas stigmatiser, mais juste faire notre travail, qui est la dénonciation », précise t il.
Revenant sur l’organisation, il a fait savoir que des comités villageois ont été installés dans les villages. Et, note t il, sont chargés de mener une campagne de sensibilisation. Mais aussi, explique t il, veiller à ce que les gens respectent scrupuleusement les mesures d’hygiène édictées par le ministère de la Santé et de l’action sociale.
Selon Ababacar Diatta, les membres du comité n’ont aucun pouvoir, ou droit d’arrêter quelqu’un. Mais se justifie t il, « ils ont le droit de signaler toute personne qui présente les symptômes de coronavirus au district sanitaire avec qui, nous collaborons parfaitement. Nous représentons le comité département de riposte dans des villages, où l’accès est difficile, faute de routes ». Et d’ajouter, « on a fait des séances de formation sur les symptômes de la maladie. Et les populations sont bien outillées. Elles sont désormais capables de reconnaitre des personnes qui présentent les signes de la maladie ».
En cette période de crise sanitaire , il faut signaler que les autorités de Bignona sont bien inspirées dans la prise des initiatives afin de contrecarrer le covid-19.
Pour rappel, avant ces étudiants, le président du Conseil départemental de Bignona, Mamina Camara avait mis à contribution les conducteurs de motos jakarta qui ont sillonné les coins les plus reculés du département pour mener une campagne de sensibilisation.
la redaction
Mais cette fois, ce sont bien des élèves et étudiants, qui veulent mettre leurs vacances au profit de la population.
C’est ainsi, qu’ils ont décidé de venir en aide au comité départemental de riposte contre le coronavirus de Bignona. Au total, trois cent jeunes, dont la moyenne d’âge est vingt ans, ont abandonné cahiers et bics, pour se mettre au service des habitants du département de Bignona. Surtout, ceux qui habitent dans les villages frontiers, d’où il n y a aucun control pour les entrées et sorties.
« L’Etat ne peut pas tout faire, et être partout. Donc, c’est pourquoi, nous avons décidé de le représenter là où il est absent », souligne le président du comité de surveillance.
Pour Cheikh Ababacar Diatta, il est important de surveiller les entrées et sorties. Car, poursuit t il, « il n y a aucun control ».
« On est prêt à signaler tout cas suspect venant de l’extérieur. On ne va pas stigmatiser, mais juste faire notre travail, qui est la dénonciation », précise t il.
Revenant sur l’organisation, il a fait savoir que des comités villageois ont été installés dans les villages. Et, note t il, sont chargés de mener une campagne de sensibilisation. Mais aussi, explique t il, veiller à ce que les gens respectent scrupuleusement les mesures d’hygiène édictées par le ministère de la Santé et de l’action sociale.
Selon Ababacar Diatta, les membres du comité n’ont aucun pouvoir, ou droit d’arrêter quelqu’un. Mais se justifie t il, « ils ont le droit de signaler toute personne qui présente les symptômes de coronavirus au district sanitaire avec qui, nous collaborons parfaitement. Nous représentons le comité département de riposte dans des villages, où l’accès est difficile, faute de routes ». Et d’ajouter, « on a fait des séances de formation sur les symptômes de la maladie. Et les populations sont bien outillées. Elles sont désormais capables de reconnaitre des personnes qui présentent les signes de la maladie ».
En cette période de crise sanitaire , il faut signaler que les autorités de Bignona sont bien inspirées dans la prise des initiatives afin de contrecarrer le covid-19.
Pour rappel, avant ces étudiants, le président du Conseil départemental de Bignona, Mamina Camara avait mis à contribution les conducteurs de motos jakarta qui ont sillonné les coins les plus reculés du département pour mener une campagne de sensibilisation.
la redaction