yott
La vie des populations de Boffa a basculé dans la soirée d'un certain 8 janvier 2018. Deux ans aprés, les habitants de Boffa, continuent de souffrir de cette catastrophe, dont ils ne pas responsables.
Notre seul tord, affirme le chef de village de Boffa, c'est d'etre proche de la foret de Bayotte. "l'incident malheureux ne s'est pas produit dans notre village de Boffa. il est survenu dans la foret de Bayotte. Mais malheureusement, les gens parlent de Boffa Bayotte", déplore M. Dasylva.
Edouard Dasylva d'ajouter, que cette erreur d'appréciation n'est pas sans conséquences. Car, précise t il, "aujourd'hui, le village est abandonné par ses bailleurs de fonds. ils ne sont plus revenus depuis l'avénement de cet événement malheureux", a fait savoir M. Dasylva. Non sans dire que les habitants de Boffa souffrent de la stigmatisation. Alors qu'ils ne sont mélés ni de prés ni de loin dans cette affaire.
"partout où nous passons, il y a un autre regard que les gens jettent sur nous. et sur le plan social et économique, nous souffrons beaucoup. Alors cette tuerie n'a pas eu lieu dans notre village Boffa. Mais, c'est dans la foret de Bayotte que ces quatorze personnes ont été tuées", tient t il à préciser.
Qui estime que les familles des personnes arrétées qui croupissent en prison depuis deux ans, souffrent énormément. Et, a t il augmenté, "leurs femmes tirent le diable par la queue pour nourrir les familles.
Déplorant ce fait, M. Dasylva a indiqué que ces derniéres doivent etre jugées pour que, dit il, la vérité jaillisse.
la redaction
Notre seul tord, affirme le chef de village de Boffa, c'est d'etre proche de la foret de Bayotte. "l'incident malheureux ne s'est pas produit dans notre village de Boffa. il est survenu dans la foret de Bayotte. Mais malheureusement, les gens parlent de Boffa Bayotte", déplore M. Dasylva.
Edouard Dasylva d'ajouter, que cette erreur d'appréciation n'est pas sans conséquences. Car, précise t il, "aujourd'hui, le village est abandonné par ses bailleurs de fonds. ils ne sont plus revenus depuis l'avénement de cet événement malheureux", a fait savoir M. Dasylva. Non sans dire que les habitants de Boffa souffrent de la stigmatisation. Alors qu'ils ne sont mélés ni de prés ni de loin dans cette affaire.
"partout où nous passons, il y a un autre regard que les gens jettent sur nous. et sur le plan social et économique, nous souffrons beaucoup. Alors cette tuerie n'a pas eu lieu dans notre village Boffa. Mais, c'est dans la foret de Bayotte que ces quatorze personnes ont été tuées", tient t il à préciser.
Qui estime que les familles des personnes arrétées qui croupissent en prison depuis deux ans, souffrent énormément. Et, a t il augmenté, "leurs femmes tirent le diable par la queue pour nourrir les familles.
Déplorant ce fait, M. Dasylva a indiqué que ces derniéres doivent etre jugées pour que, dit il, la vérité jaillisse.
la redaction