Ils traversent des moments trés difficile à cause de cette crise sanitaire qui sévit dans notre pays. Ils, ce sont bien des peres de familles qui, du jour au lendemain, ont brusquement perdu leurs emplois à cause du coronavirus. Beaucoup qui sont de retour au sein de leurs familles à Ziguinchor n'ont pas manqué à nous livrer leurs sentiments.
"c'est trés difficile pour moi de vivre sans emploi. j'ai sous ma responsabilités 12 personnes à nourrir. Chaque jour, je dois donner la dépense. Et si la situation perdure, d'où trouverais cette dépense?", s'inquiéte M.D, employer dans un grand hotel au site balnéaire de Cap Skirring, au chomage technique depuis un mois.
Artisan de profession, A.S, employé dans un hotel, corrobore les propos de son prédecesseur, " nous sommes rentrés, parce qu'au Cap , il faut payer la location, la nourriture. Vu tout cela, nous avons décidé de rentrer chez nous à Ziguinchor, en attendant de voir l'évolution de la crise. Nous souhaitons que le coronavirus soit rapidement un mauvais souvenir pour le monde entier, le Sénégal en particulier".
En sa qualité de cuisinier dans un restaurant du Cap Skirring, M.B. a fait savoir que son patron a réduit le quart de son personnel qu'il a envoyé au chomage technique. Par malchance, déplore t il, je figure parmi ces derniers.
" je vais essayer de vivre avec cette petite économie que j'ai faite en attendant de voir plus clair", a t il dit.
la redaction
"c'est trés difficile pour moi de vivre sans emploi. j'ai sous ma responsabilités 12 personnes à nourrir. Chaque jour, je dois donner la dépense. Et si la situation perdure, d'où trouverais cette dépense?", s'inquiéte M.D, employer dans un grand hotel au site balnéaire de Cap Skirring, au chomage technique depuis un mois.
Artisan de profession, A.S, employé dans un hotel, corrobore les propos de son prédecesseur, " nous sommes rentrés, parce qu'au Cap , il faut payer la location, la nourriture. Vu tout cela, nous avons décidé de rentrer chez nous à Ziguinchor, en attendant de voir l'évolution de la crise. Nous souhaitons que le coronavirus soit rapidement un mauvais souvenir pour le monde entier, le Sénégal en particulier".
En sa qualité de cuisinier dans un restaurant du Cap Skirring, M.B. a fait savoir que son patron a réduit le quart de son personnel qu'il a envoyé au chomage technique. Par malchance, déplore t il, je figure parmi ces derniers.
" je vais essayer de vivre avec cette petite économie que j'ai faite en attendant de voir plus clair", a t il dit.
la redaction
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Augmenter la taille du texte
Diminuer la taille du texte
Partager