"Rien ne peut se construire sans le volontariat"
Dans son discours, Salif Kanouté, président de DECLIC, a souligné la valeur fondamentale du volontariat dans le développement local. "En regardant le parcours de DECLIC en tant qu'organisation, nous avons commencé en tant que cinq personnes, et aujourd'hui, nous sommes plus de 1 000 à partager cet état d'esprit que rien ne peut se construire sans le volontariat, sans l'engagement communautaire. C'est une grande fierté pour nous", a-t-il déclaré.
DECLIC, en plus de mobiliser les volontaires, leur offre des opportunités uniques de formation et de développement. Le président a rappelé que cinq anciens volontaires ont intégré le staff technique rémunéré après avoir été formés et encadrés. "C’est tout un processus qu’il faut accompagner et cultiver", a-t-il insisté.
L'association a également mis en place un centre de leadership destiné à renforcer les capacités des volontaires. "Ils ont accès à des contenus de formation qui, s’ils devaient payer, seraient inaccessibles pour eux. C’est une autre forme de contribution, très importante à nos yeux", a expliqué Salif Kanouté.
DECLIC prône un modèle de "volontariat intercommunautaire de proximité", ancré dans les réalités locales. "Un volontaire doit habiter chez lui, connaître sa réalité et s'engager pour changer les choses dans sa communauté sans rien attendre en retour", a-t-il affirmé. Toutefois, il a insisté sur la nécessité de valoriser et d'accompagner ces volontaires pour maximiser leur impact.
Parmi les témoignages marquants de la journée, celui de Sira Gassama a particulièrement retenu l’attention. Diplômée en licence, Sira a rejoint DECLIC dans le cadre d’un stage académique, mais cette expérience a changé le cours de sa vie.
"Lorsque j'ai commencé à DECLIC, ce n'était pas pour être volontaire. J'avais terminé ma licence, il me fallait faire un rapport de stage. Mais après mon stage, j’ai découvert un modèle de volontariat que je n'avais jamais connu, et j’ai décidé de continuer", a-t-elle raconté.
Son engagement dans le domaine de l’art et de la culture lui a permis d’apprendre, de se former et de rencontrer des personnes venues d’horizons variés. "Les choses que je pensais être le monde, être la vie, tout a commencé à changer à travers les renforcements de capacités, les formations, et les échanges avec d’autres volontaires", a-t-elle expliqué avec émotion.
La Journée Internationale des Volontaires, célébrée par DECLIC, a montré à quel point le volontariat est essentiel pour bâtir des communautés plus solidaires et résilientes. À travers des initiatives telles que le centre de leadership ou l’intégration professionnelle des volontaires, DECLIC illustre l’impact concret de cet engagement.
Pour des jeunes comme Sira Gassama et bien d'autres, le volontariat n'est pas seulement une action altruiste, mais une véritable école de vie. DECLIC continue de promouvoir cet esprit, en inspirant des générations à s’engager pour un monde meilleur.
Dans son discours, Salif Kanouté, président de DECLIC, a souligné la valeur fondamentale du volontariat dans le développement local. "En regardant le parcours de DECLIC en tant qu'organisation, nous avons commencé en tant que cinq personnes, et aujourd'hui, nous sommes plus de 1 000 à partager cet état d'esprit que rien ne peut se construire sans le volontariat, sans l'engagement communautaire. C'est une grande fierté pour nous", a-t-il déclaré.
DECLIC, en plus de mobiliser les volontaires, leur offre des opportunités uniques de formation et de développement. Le président a rappelé que cinq anciens volontaires ont intégré le staff technique rémunéré après avoir été formés et encadrés. "C’est tout un processus qu’il faut accompagner et cultiver", a-t-il insisté.
L'association a également mis en place un centre de leadership destiné à renforcer les capacités des volontaires. "Ils ont accès à des contenus de formation qui, s’ils devaient payer, seraient inaccessibles pour eux. C’est une autre forme de contribution, très importante à nos yeux", a expliqué Salif Kanouté.
DECLIC prône un modèle de "volontariat intercommunautaire de proximité", ancré dans les réalités locales. "Un volontaire doit habiter chez lui, connaître sa réalité et s'engager pour changer les choses dans sa communauté sans rien attendre en retour", a-t-il affirmé. Toutefois, il a insisté sur la nécessité de valoriser et d'accompagner ces volontaires pour maximiser leur impact.
Parmi les témoignages marquants de la journée, celui de Sira Gassama a particulièrement retenu l’attention. Diplômée en licence, Sira a rejoint DECLIC dans le cadre d’un stage académique, mais cette expérience a changé le cours de sa vie.
"Lorsque j'ai commencé à DECLIC, ce n'était pas pour être volontaire. J'avais terminé ma licence, il me fallait faire un rapport de stage. Mais après mon stage, j’ai découvert un modèle de volontariat que je n'avais jamais connu, et j’ai décidé de continuer", a-t-elle raconté.
Son engagement dans le domaine de l’art et de la culture lui a permis d’apprendre, de se former et de rencontrer des personnes venues d’horizons variés. "Les choses que je pensais être le monde, être la vie, tout a commencé à changer à travers les renforcements de capacités, les formations, et les échanges avec d’autres volontaires", a-t-elle expliqué avec émotion.
La Journée Internationale des Volontaires, célébrée par DECLIC, a montré à quel point le volontariat est essentiel pour bâtir des communautés plus solidaires et résilientes. À travers des initiatives telles que le centre de leadership ou l’intégration professionnelle des volontaires, DECLIC illustre l’impact concret de cet engagement.
Pour des jeunes comme Sira Gassama et bien d'autres, le volontariat n'est pas seulement une action altruiste, mais une véritable école de vie. DECLIC continue de promouvoir cet esprit, en inspirant des générations à s’engager pour un monde meilleur.