Spécialiste du droit parlementaire, Alioune Souaré rappelle dans Le Soleil que pour cette séance, les députés ont l’obligation de se présenter au plus tard une heure avant le début des travaux.
Le point d’orgue de cette session sera l’installation du bureau de l’Assemblée nationale, particulièrement, l’élection du président de l’Hémicycle.
La séance d’ouverture sera présidée par le doyen d’âge des nouveaux députés. Pour la 14e législature, ce statut revient à l’ancien président Abdoulaye Wade. C’est lui qui devrait donc conduire toutes les opérations liées à l’installation du nouveau Parlement.
Mais vu son âge et le fait qu’il a déjà occupé la fonction suprême, il y a peu de chance que Wade soit au rendez-vous. Il devrait, comme en 2017, céder son siège à son suppléant.
Toutefois, le président par intérim de l’Assemblée nationale sera assisté par deux secrétaires. Les benjamins des députés joueront ce rôle.
«C’est ce bureau qui va organiser l’élection du président de l’Assemblée nationale. Après l’élection uninominale, (celui qui est élu) poursuit les travaux», rappelle Alioune Souaré.
Le point d’orgue de cette session sera l’installation du bureau de l’Assemblée nationale, particulièrement, l’élection du président de l’Hémicycle.
La séance d’ouverture sera présidée par le doyen d’âge des nouveaux députés. Pour la 14e législature, ce statut revient à l’ancien président Abdoulaye Wade. C’est lui qui devrait donc conduire toutes les opérations liées à l’installation du nouveau Parlement.
Mais vu son âge et le fait qu’il a déjà occupé la fonction suprême, il y a peu de chance que Wade soit au rendez-vous. Il devrait, comme en 2017, céder son siège à son suppléant.
Toutefois, le président par intérim de l’Assemblée nationale sera assisté par deux secrétaires. Les benjamins des députés joueront ce rôle.
«C’est ce bureau qui va organiser l’élection du président de l’Assemblée nationale. Après l’élection uninominale, (celui qui est élu) poursuit les travaux», rappelle Alioune Souaré.