C’est l’affaire qui concentre toutes les attentions, à Kinshasa. L’arrestation et le placement en détention provisoire du controversé chef de cabinet de Félix Tshisekedi, le 8 avril, a déjà provoqué une première série d’ondes de choc sur la scène politique congolaise.
Les répliques de ce séisme politico-judiciaire sont attendues pour le 11 mai prochain, lors de l’ouverture du procès de Vital Kamerhe et de ses co-accusés – l’homme d’affaires libanais Jammal Samih et Jeannot Muhima Ndoole, chargé de service import-export à la présidence de la République – devant le Tribunal de grande instance de La Gombe, lors d’une audience foraine à la prison centrale de Makala.