Bien qu'il ait précisé qu'il était trop tôt pour dresser un bilan complet, Aly Ngouille Ndiaye n'a pas manqué de souligner plusieurs faiblesses du gouvernement actuel. Il a notamment pointé du doigt la promesse non tenue de lancer un appel à candidature pour certains postes-clés, l'ouverture de nombreux fronts par les dirigeants, et la possible dissolution de certaines institutions comme le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT), le Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE), ainsi que l'Assemblée nationale.
Le maire de Linguère a vivement critiqué certaines décisions du gouvernement, qualifiant de « inopportunes » les actions telles que les déguerpissements, la fermeture de plusieurs espaces commerciaux, et l'arrêt des chantiers de BTP. Selon lui, ces mesures ont des « répercussions négatives » et ne répondent pas aux attentes des citoyens, qui espéraient voir des solutions rapides aux problèmes identifiés lors de la campagne électorale.
Concernant le projet de révision constitutionnelle visant à dissoudre le HCCT et le CESE, Aly Ngouille Ndiaye a souligné la complexité de la situation. Il a exprimé des doutes quant à l'obtention du soutien nécessaire à la dissolution de l'Assemblée nationale, même au sein du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi. Selon lui, les députés actuels, en particulier les suppléants, n'ont aucune assurance d'être reconduits en cas de nouvelles législatives, ce qui pourrait freiner cette initiative.
Enfin, sur le refus de l'État de prendre en charge les hôtes du Khalife pour le Magal de Touba, Aly Ngouille Ndiaye a été catégorique : « Si j'étais à la place du président de la République, le même soir, je démettrais l'auteur de la lettre de refus ! »
Le maire de Linguère a vivement critiqué certaines décisions du gouvernement, qualifiant de « inopportunes » les actions telles que les déguerpissements, la fermeture de plusieurs espaces commerciaux, et l'arrêt des chantiers de BTP. Selon lui, ces mesures ont des « répercussions négatives » et ne répondent pas aux attentes des citoyens, qui espéraient voir des solutions rapides aux problèmes identifiés lors de la campagne électorale.
Concernant le projet de révision constitutionnelle visant à dissoudre le HCCT et le CESE, Aly Ngouille Ndiaye a souligné la complexité de la situation. Il a exprimé des doutes quant à l'obtention du soutien nécessaire à la dissolution de l'Assemblée nationale, même au sein du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi. Selon lui, les députés actuels, en particulier les suppléants, n'ont aucune assurance d'être reconduits en cas de nouvelles législatives, ce qui pourrait freiner cette initiative.
Enfin, sur le refus de l'État de prendre en charge les hôtes du Khalife pour le Magal de Touba, Aly Ngouille Ndiaye a été catégorique : « Si j'étais à la place du président de la République, le même soir, je démettrais l'auteur de la lettre de refus ! »