L’énergie nucléaire fait partie des points forts traditionnels de l’industrie russe, et Moscou a toujours voulu s’appuyer sur cette compétence bien particulière pour doper ses exportations. Ou pour le dire concrètement : pour vendre des centrales nucléaires à l’étranger.
Rosatom, le géant russe du secteur, a même développé un concept de « mini centrale » spécifiquement destinée aux pays en développement, africains ou autres. Mais pour l’heure, seules l’Égypte et l’Afrique du Sud possèdent des réacteurs en fonctionnement. D’autres pays ont signé des partenariats ou des mémorandums, mais à ce stade il s’agit au mieux de créer des centres de recherche.