« La disparition de Ibrahima Sène ne peut être prise que pour ce qu’elle est : La perte d’un homme ou d’un camarade de tranchées, ayant révélé bien des fois combien il était utile à la cause qu’il défendait, que nous défendons en ce moment si particulier, sur la trajectoire de notre pays», a laissé entre le Chef de l'Etat, présent à la levée du corps.
En raison de ce contexte, Pour Macky, 'il est utile de rappeler que Ibrahima Sène a commencé à militer dans un parti j’allais même dire clandestin à un moment où il n’était pas possible de militer impunément avec ses camarades nos regrettés Sémou Pathé, Amath Dansokho, pour ne rappeler que ceux-là.
Il a pris des risques pour lui-même, sa famille, mettant en jeu par-delà sa carrière d’agronome, sa liberté et sa vie familiale. Son engagement et celui de ses camarades du Pit, ont assurément contribué à bâtir le Sénégal d’aujourd’hui, pays de paix, de liberté, de démocratie, de tolérance et du vivre ensemble. C’est très certainement parce qu’il mesurait la chance que nous avons de vivre dans un tel univers. Il était également très engagé sur les responsabilités qui lui étaient confiées : la présidence du Conseil d’administration de la Miferso.
Je l’ai vu se déplacer jusqu’à Dubaï pour créer les conditions de l’exploitation prochaine du fer du Sénégal oriental. Il le faisait avec conviction et avec engagement comme il a toujours vécu. À sa famille, à ses enfants ici présents, à ses camarades du Pit, à tous ses amis, aux camarades de Benno Bokk Yakaar (Bby), je présente au nom de la nation sénégalaise, mes condoléances attristées. Puisse la terre de Mékhé lui soit légère et qu’Allah dans sa Grande Miséricorde puisse l’accueillir en son Paradis éternelle. Amine»
En raison de ce contexte, Pour Macky, 'il est utile de rappeler que Ibrahima Sène a commencé à militer dans un parti j’allais même dire clandestin à un moment où il n’était pas possible de militer impunément avec ses camarades nos regrettés Sémou Pathé, Amath Dansokho, pour ne rappeler que ceux-là.
Il a pris des risques pour lui-même, sa famille, mettant en jeu par-delà sa carrière d’agronome, sa liberté et sa vie familiale. Son engagement et celui de ses camarades du Pit, ont assurément contribué à bâtir le Sénégal d’aujourd’hui, pays de paix, de liberté, de démocratie, de tolérance et du vivre ensemble. C’est très certainement parce qu’il mesurait la chance que nous avons de vivre dans un tel univers. Il était également très engagé sur les responsabilités qui lui étaient confiées : la présidence du Conseil d’administration de la Miferso.
Je l’ai vu se déplacer jusqu’à Dubaï pour créer les conditions de l’exploitation prochaine du fer du Sénégal oriental. Il le faisait avec conviction et avec engagement comme il a toujours vécu. À sa famille, à ses enfants ici présents, à ses camarades du Pit, à tous ses amis, aux camarades de Benno Bokk Yakaar (Bby), je présente au nom de la nation sénégalaise, mes condoléances attristées. Puisse la terre de Mékhé lui soit légère et qu’Allah dans sa Grande Miséricorde puisse l’accueillir en son Paradis éternelle. Amine»