La manifestation était organisée par le « Front social Marocain » (FSM), un collectif récemment créé regroupant quatre partis de gauche, des organisation syndicales comme la Confédération démocratique du travail (CDT) et des associations, comme l’AMDH qui se concentre sur les droits humains.
Il n’a pas été possible d’obtenir de chiffres sur la mobilisation, ni auprès des organisateurs ni auprès des autorités.
« C’est la première manifestation du Front social marocain pour dire stop aux politiques antisociales et antidémocratiques, stop aux dégradations des droits humains, stop aux politiques qui ont abouti à la dégradation du pouvoir d’achat », a déclaré Ali Boutwala, un des membres du bureau national du FSM.
Soutien à Nasser Zefzaki
Les manifestants ont protesté avec force contre le chômage, le coût élevé de la vie, les défaillances des services publics tout en demandant « la libération de tous les détenus politiques », à commencer par ceux du Hirak.