Le phénomène des faux billets de banque ne date pas d'aujourd’hui. On l'a connu dans un passé récent avec le lead vocal du groupe Raam Daan, Thione Ballago Seck. Mais depuis un certain temps, avec les cas du député de l’A.P.R ,Seydina Fall alias Bougazelli , cela constitue une problématique qui inquiète plus d'un et dont les conséquences sont néfastes pour l' économie du pays. Récit.
L’affaire des faux billets a refait surface en 2013 au moment où Thione Seck a été épinglé par les forces de l'ordre avec comme corollaire son emprisonnement pendant plus de 8 mois à Rebeuss.
Mais avec la liberté provisoire dont il a bénéficié après, l’on pensait que cette affaire allait constituer un cas d’école pour les sénégalais.
Contre toute attente, quelques années après, voilà qu’une autre affaire de faux billets défraie la chronique avec comme protagoniste un responsable politique de l' A.P.R et non moins représentant du peuple, député en l' occurrence. Lui, c'est Seydina Fall alias Bougazelli, impliqué dans l’affaire des faux billets. Qui tiendra en haleine le quotidien des sénégalais pendant plusieurs semaines jusqu'à son arrestation et son emprisonnement.
Cette affaire était si tonitruante que l’on pensait que nos concitoyens allaient se faire une religion de la dangerosité de ce fléau.
Devant ce décor sinistre, des interrogations s’imposent :
Jusqu'où nous mènera ce phénomène si clivant et préoccupant ? Pourquoi ces faussaires continuent-ils à défier l’ordre établi malgré les mesures coercitives ? Cela est-il dû à une simple cupidité ou bien dicté par la conjoncture économique ?
En tout état de cause, le phénomène des faux billets au Sénégal inquiète. Malgré la frénésie des forces de l’ordre qui continue à traquer sans relâche les faussaires connus ou tapis dans l'ombre.
Cette activité, en dépit de sa dangerosité pour l'économie du pays, commence à étendre ses tentacules à travers le pays.
D’où l’intérêt pour nos gouvernants de prendre des mesures idoines pour stopper ce fléau qui commence à devenir banal aux yeux des sénégalais.
L’affaire des faux billets a refait surface en 2013 au moment où Thione Seck a été épinglé par les forces de l'ordre avec comme corollaire son emprisonnement pendant plus de 8 mois à Rebeuss.
Mais avec la liberté provisoire dont il a bénéficié après, l’on pensait que cette affaire allait constituer un cas d’école pour les sénégalais.
Contre toute attente, quelques années après, voilà qu’une autre affaire de faux billets défraie la chronique avec comme protagoniste un responsable politique de l' A.P.R et non moins représentant du peuple, député en l' occurrence. Lui, c'est Seydina Fall alias Bougazelli, impliqué dans l’affaire des faux billets. Qui tiendra en haleine le quotidien des sénégalais pendant plusieurs semaines jusqu'à son arrestation et son emprisonnement.
Cette affaire était si tonitruante que l’on pensait que nos concitoyens allaient se faire une religion de la dangerosité de ce fléau.
Devant ce décor sinistre, des interrogations s’imposent :
Jusqu'où nous mènera ce phénomène si clivant et préoccupant ? Pourquoi ces faussaires continuent-ils à défier l’ordre établi malgré les mesures coercitives ? Cela est-il dû à une simple cupidité ou bien dicté par la conjoncture économique ?
En tout état de cause, le phénomène des faux billets au Sénégal inquiète. Malgré la frénésie des forces de l’ordre qui continue à traquer sans relâche les faussaires connus ou tapis dans l'ombre.
Cette activité, en dépit de sa dangerosité pour l'économie du pays, commence à étendre ses tentacules à travers le pays.
D’où l’intérêt pour nos gouvernants de prendre des mesures idoines pour stopper ce fléau qui commence à devenir banal aux yeux des sénégalais.
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