Le second, affirmant avoir été victime d’agression, accuse : « D. Diagne m’a dit qu’il était infographe et peut me faire des affiches de publicité pour mon commerce. Il m’a invité chez lui pour me montrer quelques uns de ses tableaux. Il vit dans un immeuble au niveau 4e. Arrivé au 2e, A. Fall, M. Fall, El H. O. Ndiaye, A. Fall, I. Ndiaye et D. Diagne m’ont attaqué, tabassé, volé ma moto, mon téléphone portable et mes AirPods ».
D. Diagne, fournissant une autre version, s’est dit victime de harcèlement. « Il (I. Ngom) m’a trouvé assis sur ma moto et m’a demandé si j’étais le propriétaire. Il m’a dit qu’il vendait des motos, qu’il va bientôt en réceptionner et était à la recherche de clients », a-t-il expliqué.
Il souligne qu’ils ont alors échangé de numéros de téléphone. Mal lui a pris car balance D. Diagne, le commerçant « n’a cessé de le harceler, l’appelant, lui envoyant des messages à longueur de journée » pour lui « proposer des rapports sexuels ».
A l’en croire, I. Ngom a poussé le bouchon jusqu’à « se présenter chez lui, le 29 avril » et aurait « à la limite essayer de l’agresseur sexuellement ».
C’est ainsi que jure l’infographe, une bagarre a éclaté entre eux : « Lorsqu’il m’a mordu, j’ai crié au secours, et les voisins sont venus nous séparer. Je leur ai expliqué qu’il voulait coucher avec moi, et ils l’ont traîné dehors pour le tabasser ».
Un sixième voisin a été relaxé de tous les chefs d’accusation pour avoir sauvé I. Ngom du lynchage.
D. Diagne, fournissant une autre version, s’est dit victime de harcèlement. « Il (I. Ngom) m’a trouvé assis sur ma moto et m’a demandé si j’étais le propriétaire. Il m’a dit qu’il vendait des motos, qu’il va bientôt en réceptionner et était à la recherche de clients », a-t-il expliqué.
Il souligne qu’ils ont alors échangé de numéros de téléphone. Mal lui a pris car balance D. Diagne, le commerçant « n’a cessé de le harceler, l’appelant, lui envoyant des messages à longueur de journée » pour lui « proposer des rapports sexuels ».
A l’en croire, I. Ngom a poussé le bouchon jusqu’à « se présenter chez lui, le 29 avril » et aurait « à la limite essayer de l’agresseur sexuellement ».
C’est ainsi que jure l’infographe, une bagarre a éclaté entre eux : « Lorsqu’il m’a mordu, j’ai crié au secours, et les voisins sont venus nous séparer. Je leur ai expliqué qu’il voulait coucher avec moi, et ils l’ont traîné dehors pour le tabasser ».
Un sixième voisin a été relaxé de tous les chefs d’accusation pour avoir sauvé I. Ngom du lynchage.