Et de poursuivre : ''Je ne peux pas appeler ce que je vois stade, mais espace réservé à la construction d'une infrastructure sportive. Excusez les termes, mais c'est ainsi que je peux l'appeler'', a dit la ministre avouant devant l'administration territoriale et le monde sportif régional qu'elle a le cœur gros.
Khady Diène Gaye n'a pas pu aussi expliquer où on a investi les 60 % d'exécution des travaux. Fort de ce constat, elle a saisi l'occasion pour jeter l'opprobre sur le régime sortant et donner un cours magistral sur la bonne gouvernance, la reddition des comptes et l'utilisation des deniers publics.
La ministre s'est rendue ensuite au stade municipal et dans les établissements publics relevant de son département avant de promettre à la jeunesse sedhiouoise ce qu'elle ne veut point appeler ni poursuite ni achèvement, puisqu'il n'y a pas eu, à l'en croire, ni début ni commencement.
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