« Nous sommes déçus par la mairie de Ziguinchor, surtout par la nouvelle équipe municipale. Nous avons l'impression d'être abandonnés », confie Henry Diatta au micro de nos confrères du Groupe Média du Sud (GMS), lors d'un reportage dédié aux quartiers Kenya et Cité Faro. Selon lui, la route était autrefois praticable, mais elle est aujourd'hui presque impraticable. Même les taxis hésitent désormais à entrer dans le quartier, à moins de doubler leurs tarifs.
Cette situation impacte gravement le quotidien des habitants. Mansata Dahaba, une résidente, se dit particulièrement préoccupée par les urgences médicales : « Même si quelqu'un est gravement malade, il est très difficile de l’évacuer à l’hôpital à cause du mauvais état de la route. »
Les chauffeurs de taxi, comme Youssouf Diedhiou, sont également affectés : « Pour venir ici, il faut prendre des risques. Si on ne fait pas attention, on risque d’abîmer la voiture ou de tomber en panne. »
La hausse des tarifs est devenue inévitable pour les chauffeurs : « Si nous doublons les prix, c’est à cause de l'état de la route », explique Youssouf.
Face à cette situation, les habitants appellent la mairie à agir. Henry Diatta, un autre résident, insiste : « Nous demandons à la mairie de venir à la rencontre de la population de Kenya pour écouter nos préoccupations. Nous faisons aussi partie de Ziguinchor. »
Les habitants espèrent désormais une réaction rapide de la part des autorités locales pour améliorer l’accès à leur quartier et soulager leur quotidien.
casa24
Cette situation impacte gravement le quotidien des habitants. Mansata Dahaba, une résidente, se dit particulièrement préoccupée par les urgences médicales : « Même si quelqu'un est gravement malade, il est très difficile de l’évacuer à l’hôpital à cause du mauvais état de la route. »
Les chauffeurs de taxi, comme Youssouf Diedhiou, sont également affectés : « Pour venir ici, il faut prendre des risques. Si on ne fait pas attention, on risque d’abîmer la voiture ou de tomber en panne. »
La hausse des tarifs est devenue inévitable pour les chauffeurs : « Si nous doublons les prix, c’est à cause de l'état de la route », explique Youssouf.
Face à cette situation, les habitants appellent la mairie à agir. Henry Diatta, un autre résident, insiste : « Nous demandons à la mairie de venir à la rencontre de la population de Kenya pour écouter nos préoccupations. Nous faisons aussi partie de Ziguinchor. »
Les habitants espèrent désormais une réaction rapide de la part des autorités locales pour améliorer l’accès à leur quartier et soulager leur quotidien.
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