B.K, qui est l'épouse d'un maître coranique établi à Dakar, a été interpellée par la police tandis que K.B, mariée à un émigré, a été arrêtée par la gendarmerie. Les jeunes femmes auraient interrompu leurs grossesses respectives de deux et trois mois en ayant recours à des pilules abortives, selon des informations relayées par le journal *Enquête* et reprises par Seneweb.
Cet événement a suscité une vive émotion dans la région, où les autorités judiciaires intensifient les investigations pour identifier d'éventuels complices qui auraient pu les aider dans cette démarche. La police et la gendarmerie poursuivent activement leurs enquêtes pour démanteler tout réseau potentiel facilitant ce type d'avortements clandestins, qui restent illégaux au Sénégal.
Ces arrestations mettent en lumière les enjeux complexes entourant la question de l'avortement au Sénégal, où la législation reste très restrictive, obligeant certaines femmes à recourir à des moyens dangereux pour interrompre leurs grossesses. Le cas de B.K et K.B soulève des questions profondes sur l'accès à la santé reproductive et les conditions qui poussent certaines femmes à prendre des risques extrêmes pour exercer un choix sur leur corps.
En attendant, la justice devra déterminer les responsabilités de B.K, K.B, et d'éventuels complices dans cette affaire délicate .
Cet événement a suscité une vive émotion dans la région, où les autorités judiciaires intensifient les investigations pour identifier d'éventuels complices qui auraient pu les aider dans cette démarche. La police et la gendarmerie poursuivent activement leurs enquêtes pour démanteler tout réseau potentiel facilitant ce type d'avortements clandestins, qui restent illégaux au Sénégal.
Ces arrestations mettent en lumière les enjeux complexes entourant la question de l'avortement au Sénégal, où la législation reste très restrictive, obligeant certaines femmes à recourir à des moyens dangereux pour interrompre leurs grossesses. Le cas de B.K et K.B soulève des questions profondes sur l'accès à la santé reproductive et les conditions qui poussent certaines femmes à prendre des risques extrêmes pour exercer un choix sur leur corps.
En attendant, la justice devra déterminer les responsabilités de B.K, K.B, et d'éventuels complices dans cette affaire délicate .