Ils ont été déférés lundi dernier par les Policiers du commissariat central de Ziguinchor, pour séquestration d'une mineure suivie de viol collectif et répétitif. Selon nos informations, la ressortissante bissau-guinéenne R. Sagna a fugué du domicile de son oncle, dans la nuit du 9 au 10 aout 2024, après avoir été battue par son tuteur. Blessée, la fille âgée de 14 ans est allée se faire soigner à l'infirmerie du camp militaire Colonel Georges Boissy de Ziguinchor.
Après les soins reçus, R. Sagna a été accostée par le soldat de première classe A. Gadjigo qui l'a conduite à son domicile sis au quartier Kénia. Avec la com- plicité de son neveu, S. Gadjigo, ils l'ont séquestrée et violée pendant trois jours, d'après notre source proche de l'enquête.
Cette affaire finira par s'ébruiter. Une plainte est déposée sur la table du commissaire Malick Dieng qui a requis les services d'un gynécologue. Le certificat médical a attesté la présence de lésions vulvaires récentes et de déchirures hyménales.
Interrogés sur procès-verbal, le militaire A. Gadjigo et son neveu S. Gadjigo ont reconnu les faits. Ils ont été placés en garde à vue au commissariat central de Ziguinchor.
Après les soins reçus, R. Sagna a été accostée par le soldat de première classe A. Gadjigo qui l'a conduite à son domicile sis au quartier Kénia. Avec la com- plicité de son neveu, S. Gadjigo, ils l'ont séquestrée et violée pendant trois jours, d'après notre source proche de l'enquête.
Cette affaire finira par s'ébruiter. Une plainte est déposée sur la table du commissaire Malick Dieng qui a requis les services d'un gynécologue. Le certificat médical a attesté la présence de lésions vulvaires récentes et de déchirures hyménales.
Interrogés sur procès-verbal, le militaire A. Gadjigo et son neveu S. Gadjigo ont reconnu les faits. Ils ont été placés en garde à vue au commissariat central de Ziguinchor.